Un premier roman assez court qui retrace la vie d’une jeune chinoise ouvrière dans une usine de confection.
C’est le premier roman d’une auteur qui écrit pour les enfants.
Le livre est émouvant, l’écriture rapide mais précise. On imagine facilement la vie de ses jeunes filles proche de l’esclavage. Et moi vu d’ici, je me demande pourquoi elles ne se révoltent pas…
Comment est il possible qu’on les fasse travailler dans de telles conditions ? Que peuvent elles attendre de la vie ?
Je ne vous raconte pas l’histoire de Mei pour ne pas pour priver du plaisir de ce moment avec elle.
Un joli roman.
Je participe avec cette lecture au défi de Virginie B que vous pouvez retrouver cette semaine ici.
Aujourd’hui en Chine. Mei, jeune ouvrière de dix-sept ans vit, dort et travaille dans son usine. Elle rêve aussi.
Confrontant un souffle romantique à l’âpre réalité, La Fabrique du monde est une plongée intime dans un esprit qui s’éveille à l’amour, à la vie et s’autorise, non sans dommage, une perception de son individualité.
Biographie de l’auteur
Née en 1973, Sophie Van der Linden vit à Conflans-Sainte-Honorine (78). Jusqu’à présent, elle n’a publié que des ouvrages de référence sur la littérature pour la jeunesse dont elle est spécialiste (Je cherche un livre pour un enfant, Gallimard, 2011 ; Images des livres pour la jeunesse, Editions Thierry Magnier, 2006).
La Fabrique du monde est son premier roman.
Tagué:chine, Mei, roman, Van der Linden
Je n’ai lu que de bonnes critiques … il faut vraiment que je le lise … merci et bon week end.
J’aimeJ’aime
Il est très bien…
J’aimeJ’aime
il a l’airbien celui ci , j’aime les histoires qui me font voyager !
J’aimeJ’aime
Il te plaira même si la vie de ces jeunes chinoises n’est pas facile.
Et il se lit vite 😉
J’aimeJ’aime
Je l’ai lu dans le cadre de mon atelier lecture, j’ai bien aimé. La révolte n’est même pas envisageable pour ces jeunes filles paysannes et il leur serait insupportable de trahir leurs familles.
J’aimeJ’aime
Et puis on ne leur apprend pas à se révolter !
C’est si dur…
J’aimeJ’aime