Sweet Mambo créée en 2008 est la dernière création donnée au théâtre de la Ville avant le décès de Pina Bausch. Le ballet est ici repris sous la direction de Boris Charmatz et du Tanztheater Wuppertal Piina Bausch.
J’admire la grande chorégraphe qu’est Pina Bausch mais je ne ressors pas complétement enthousiaste après avoir vu ses ballets. J’ai souvent du mal à comprendre où elle veut en venir et l’ensemble ne me transporte pas forcément.
Cela dit, il y a des moments de danse magnifique, les danseurs et danseuses sont parfaits, la musique est super riche, les robes sont magnifiques, le grand rideau blanc et ses envolées sous le vent superbes aussi, les projections très belles.
Un grand bravo à Naomi Brito qui m’a touchée, j’ai beaucoup aimé ses solos, bravo aussi à Nazareth pour la force qu’elle partage.
Je vous laisse lire le descriptif en dessous, je ne vois pas quoi vous expliquer, il y a même des moments ou l’attitude des hommes m’a mise mal à l’aise, c’est peut être cela qui est dénoncé mais je ne sais pas.
Je vous encourage à aller voir les films sur le travail de Pina Bausch car avec des explications c’est tout de suite magique. Et je regrette que dans les spectacles, les danseurs et danseuses ne dansent pas davantage.
Un ami blagueur a demandé à Chat GPT ce qu’il pensait de Sweet Mambo, comme c’est un ballet « ancien » il peut en parler. Le version courte dit ceci :
« Sweet Mambo » de Pina Bausch est une œuvre emblématique qui mêle danse contemporaine, théâtre et musique pour explorer les relations humaines avec passion et sensualité. Son approche unique de la chorégraphie, combinant technique de danse et interactions humaines authentiques, crée une expérience immersive pour le public. Cependant, son esthétique radicale peut dérouter certains spectateurs, mais au final, « Sweet Mambo » est une expérience artistique puissante et provocante qui invite à repenser la danse et la performance.
Je suis assez d’accord mais ce ne sont pas mes mots 😉
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