J’avais déjà beaucoup apprécié « Tout ce que j’aimais » et celui ci est également un très beau roman.
Une femme, la cinquantaine, est quitté par son mari. Elle décide de retourner passer l’été dans la ville de son enfance auprès de sa mère et de donner des cours de poésie à des adolescentes. Elle se lie d’amitié avec sa jeune voisine et ses enfants.
Différentes générations de femmes se croisent, s’aiment, se confient, vivent dans ce livre.
L’auteur nous prend à témoin, amplifie mon féminisme, parle poésie de façon légère et nous fait partager ce moment particulier de la vie d’une femme.
C’est à la fois émouvant, drôle, plein de sentiments, réfléchis…
Je vous conseille particulièrement ce livre même si vous êtes un homme 😉
Note de l’éditeur :
Incapable de supporter plus longtemps la liaison que son mari entretient avec une femme plus jeune qu’elle, Mia quitte brusquement New York pour se rendre dans le Minnesota et se réfugier quelque temps auprès de sa mère octogénaire. Parcours d’une femme blessée en forme de « lecture de soi » et d’inattendue épiphanie personnelle, ce roman solaire – féministe au meilleur sens du terme – irradie d’une énergie aussi rebelle que stimulante.
Tagué:été, homme, livre, poésie, siri hustvedt
Merci MH, je vais le lire, nous avons un point commun: je suis une féministe qui s’ entend très bien avec les hommes!
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