Concert et ballet au Châtelet dans le cadre d’un hors les murs du Théâtre de la Ville.

Sur une musique baroque de Heinrich Ignaz Franz Biber sous la direction de Amandine Beyer et les musiciens de Gli Incogniti, et pour la danse la chorégraphie de Anne Teresa de Keersmaeker.

La musique et la danse se retrouvent autour du thème de la rose, emblème du secret et du mystère.

Le spectacle dure plus de 2 heures et j’ai trouvé cela long, il y a de très beaux moments mais d’autres souvent pour moi ennuyeux.

Le ballet est dédié aux célèbres Rosa féministes.

Sur le site du Théâtre de la Ville :

Mystères, mystique et résilience de la rose, évoquées par la fondatrice de rosas qui surprend encore dans son exploration du patrimoine musical.

L’éminente structuraliste de la danse retrouve ici Amandine Beyer, virtuose du violon s’il en est, pour mettre en mouvement les Sonates du Rosaire de Heinrich Biber. Ce cycle baroque, complexe et raffiné qui évoque les quinze mystères de la Vierge Marie, inclut gigues, allemandes et autres danses. Aussi ne pouvait-il qu’inspirer Anne Teresa De Keersmaeker qui sait comme nulle autre épouser le temps et structurer l’espace.

Joie, tristesse et gloire, incarnées par les musiciens de Gli Incogniti et dix danseurs de Rosas, sont ici dédiées à Rosa Luxembourg, Rosa Parks et autres activistes du prénom aux pétales et épines.

Thomas Hahn

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