
Invitation à l’Opéra de Paris pour cet opéra qui relate Roméo et Juliette version italienne.
Je ne suis pas du tout spécialiste en art lyrique, je ne connaissais pas, j’ai passé une bonne soirée, 3 heures de spectacle quand même.
La salle est vraiment superbe et nous étions bien placés. Les décors sont à la fois simples mais tellement grandioses… Des murs mobiles dans des tons rouges bruns et mobiles… Les costumes époque 1850 rouges ou noirs magnifiques. Juliette seule en robe blanche. Les lumières magnifient l’ensemble. C’est souvent sombre mais cela rend palpable la haine entre les 2 familles.
5 rôles principaux et les Choeurs de l’Opéra, ils sont une quarantaine sur scène.
Une pièce très masculine mais Roméo est joué et chanté par une femme Anna Goryachova, Juliette aussi : Julie Fuchs. Que des hommes sur scène ensuite mais une femme Chef d’orchestre : Speranza Scappucci et une femme Chef de choeur : Ching-Lien Wu.
L’orchestre et les choeurs sont vraiment impressionnants.
Je me laisserai davantage tenter par les opéras à l’avenir 😉
Sur le site de l’Opéra de Paris :
Lorsque Vincenzo Bellini s’attèle à une partition inspirée de Roméo et Juliette pour La Fenice de Venise en 1830, il n’a que six semaines pour la composer. Felice Romani, son librettiste attitré depuis son premier succès, Il Pirata, choisit de remonter, par‑delà Shakespeare, aux sources italiennes du mythe. Le drame s’assombrit : la querelle entre les deux familles devient une véritable guerre. Dans le titre même que retient Bellini, les noms de Capulet et de Montaigu éclipsent ceux de Roméo et Juliette, tout comme le conflit empoisonne leur passion. Mais l’opéra ressuscite également une scène que Shakespeare avait omise : lorsque Juliette – que Roméo croyait morte – s’éveille dans la tombe, les deux amants peuvent échanger quelques mots avant de s’endormir à jamais. Le metteur en scène Robert Carsen inscrit le chant de ces vies entremêlées dans l’épure d’un décor éclairé par l’amour ardent. Un amour transcendé par la musique tendre et rêveuse de Bellini.
Vous pouvez écouter des extraits sur le site de l’Opéra.
Tagué:Anna Goryachova, Julie Fuchs, Les Capulet et les Montaigu, Opéra, Opéra Bastille, Opéra de Paris, Roméo et Juliette, Speranza Scappucci, Vincenzo Bellini
Ma maman a trop écouté d’opéra quand j’étais petite et j’essaye de m’en remettre depuis 😁
Je plaisante.
La vraie raison c’est que c’est à Bastille depuis très longtemps alors que je suis amoureuse de Garnier. Mais il faudrait peut-être que j’arrête de bouder à ce sujet. Depuis le temps je crois qu’il y a prescription !
Des bisous, contente que tu aies passé une bonne soirée : )
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Moi c’est le jazz que j’ai du mal à apprécier à cause de mon père 😉
Bastille est tellement « plus » que Garnier même si je suis d’accord avec toi.
On pourra essayer d’y aller ensemble une prochaine fois.
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Ça devait être grandiose
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C’est impressionnant 😉
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houa Je n’ai vu qu’un opéra de toute ma vie avec ma grand mère, ça date j’étais gamine. Par contre j’ai baigné dans la musique classique.
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Même pas à la télé ? 😉
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On n’a pas la télé !!
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Je voulais dire sur un écran….
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:))
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[…] 11 # Jour 284 : Soirée à l’Opéra Bastille. […]
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[…] Contente d’avoir vu un opéra à l’opéra Bastille, belle soirée avec Les Capulet et les Montaigu. […]
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