
Dans la grande salle d’expo temporaire, on peut voir le travail de Karina Bisch et Nicolas Chardon : Modern Lovers
Des peintures aux couleurs vives, accumulatrices pour elle, géométriques pour lui et qui se marient comme des décors.



De nouvelles oeuvres pour la partie expo permanente avec en toile de fond les mains (clin d’oeil à mes camarades d’atelier) et des oeuvres d’un grand nombre d’artistes dont Nine Childress, Nicolas Floc’h, Judit Reigl que je vous montre :



Le grand panneau noir n’est pas une peinture mais un tapis de danse en PVC tendu sur un châssis 😉
Je vous laisse aller découvrir ce musée parfois déconcertant mais où il est vraiment agréable de déambuler tranquillement.
Je suis à jour des mes articles « visite » 😉 Maintenant place à Rock en Seine… A suivre.
Sur le site du Musée :
Modern Lovers :
Karina Bisch (née en 1974) et Nicolas Chardon (né en 1974) développent chacun un travail singulier qui s’inscrit dans la suite des projets utopiques des avant-gardes historiques du début du 20e siècle (Bauhaus, Futurisme, Suprématisme, De Stilj, Dada…). Ils pratiquent une « peinture à vivre » savante et burlesque à la fois. Leurs recherches respectives s’augmentent de travaux à quatre mains.
L’exposition s’amuse de l’idée de pavillon : folies architecturales programmatiques des expositions universelles, habitation, étendard… et propose une immense « machine à habiter », réunissant œuvres de l’une et de l’autre et œuvres communes dans une scénographie originale entre écrin, maquette et décor abolissant la frontière entre l’art et la vie.
L’exposition se poursuit dans une publication éditée en partenariat avec la maison d’Édition, structure de production et diffusion de multiples qu’ils ont créée CONNOISSEURS.
A mains nues :
Suite à l’exposition précédente de la collection « Le vent se lève », incarnant les relations que l’humanité entretient avec la Terre, le MAC VAL poursuit cette exploration de l’humain en se recentrant sur le corps, son langage, son pouvoir et sa puissance de réinvention, avec cette exposition nouvelle « À mains nues ».
Inédites ou plus anciennes, les œuvres y évoquent la réinvention de soi, le futur qu’il nous appartient de créer, à mains nues.
En cette expérience partagée de la pandémie, d’empêchement de l’autre, de son contact, du violent constat de notre fragilité corporelle et de notre statut de corps vivant, se projeter dans le futur et l’envisager avec désir, élan et espoir s’impose de façon nouvelle.
Le corps et son langage, les fluides vitaux, les membres, dont les mains, incarnent ici la question de la réinvention de soi contre la réalité, la fatalité ou les déterminismes sociaux.
Tout comme la fiction, le récit, la mise en scène, ou le travestissement sont autant de stratégies mises en œuvre par les artistes pour engager cette réinvention, douce, déterminée ou plus guerrière.
L’adresse à l’autre, à son regard comme à son corps est au cœur des œuvres, à travers la fabrication de sa propre image, portraits ou autoportraits qui résonnent ainsi avec les phénomènes historiques et contemporains de l’invention de soi.
Tagué:art contemporain, expo, Mac val, Vitry sur Seine
Bon festival
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Merci Top les 2 premiers jours
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[…] 24 # Jour 236 : Visite du Mac Val près de chez moi […]
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