
Une longue saga familiale italienne qui commence vers 1800 jusqu’à nos jours. Une grande famille, 7 ou 8 générations, un fil conducteur.
Giacomo épouse une tzigane avant 1800, elle tire les cartes et peut prédire l’avenir. Ses dons et prédictions se transmettront de génération en génération.
Le livre en arrière fond brosse l’Histoire de l’Italie du Nord, c’est intéressant, l’indépendance, les guerres, le terrorisme… On part aussi un peu au Brésil pour un mariage arrangé.
Nous suivons les familles Casadio puis Martiroli sur une période vraiment longue, une famille comme il a du y en avoir beaucoup. Les personnages sont vraiment nombreux, le marque page arbre généalogique est le bienvenu.
Le livre fait plus de 500 pages, on suit beaucoup de monde mais le rythme est assez lent quand même. Leurs vies sont basiques, les transmission de génération en génération sont bien détaillées ainsi que l’évolution de la société.
Une grande place est faite aux rêves, peut on les suivre ? Doit on les abandonner ? Faut il y croire ?
A vous de voir en lisant cette belle saga.
4ème de couverture :
« Je sais que tu ne crois pas à ces choses-là, mais tu n’as qu’à regarder ce qui s’est passé dans notre famille. D’abord Giacomo, avec ses manies, qui a fini pendu à une poutre. Ensuite Achille, il voulait jouer aux héros et c’est un miracle s’il n’est pas mort fusillé. Et ta tante Edvige ? Elle a détruit deux familles. Et ma soeur Adele, qui s’est retrouvée à l’autre bout de la planète, avec ses fantaisies d’amour, et veuve presque tout de suite. N’oublie jamais, Guido… si nous ne les contrôlons pas, les rêves finiront par nous apporter une tragédie. Et elle sera pire que tous les malheurs que nous avons déjà connus. C’est notre ancêtre, la Tsigane, qui l’a vu dans ses cartes. Elle ne se trompait jamais. »
L’histoire commence en 1800, à Stellata, dans la plaine du Pô, le jour où Giacomo Casadio tombe amoureux. Peut-on contrôler son destin ? Faut-il renoncer à ses rêves ? Une saga à l’italienne, somptueuse comme un fleuve.
Tagué:Daniela Raimondi, italie, saga, Stellata
je viens de lire « trois » de Valérie Perrin. J’ai bien aimé ! je vais maintenant commencer « la pâtissière de Long Island » de Sylvia Lott, une auteure que je ne connais absolument pas !
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Merci 🙂
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Ce n’est pas forcément ce que je préfère lire mais je ne me suis pas ennuyée et je crois que ça peut plaire… 🙂
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