Je visite les musées virtuellement, c’est sympa aussi 😉

Ce week-end je suis allée au Centre Pompidou, lundi soir au Moma, et mardi je me suis promenée sur le site de la Tate Modern à Londres.

Je vous ai rapporté cette toile un peu sombre d’une artiste que je ne connaissais pas.

Mais que j’ai bien envie de découvrir…  Je ferai des recherches pour vous en parler la semaine prochaine.

J’ai un mal fou à décrocher de mon ordinateur, c’est comme une fenêtre sur le monde pour moi. Du coup j’ai du mal à lire et à peindre ou dessiner 😦

Par contre je cuisine avec plaisir pour ma troupe de confinement.

Je vous souhaite une bonne journée.

La réponse en dessous

Il s’agit d’une oeuvre de Ana Mendieta de 1982 vue sur le site du Moma.

Ana Mendieta, née le 18 novembre 1948 à la Havane et morte d’une chute le 8 septembre 1985 à New York, est une performeuse, sculptrice, peintre, photographe et artiste vidéo américano-cubaine dont l’œuvre se situe à la croisée du land art et du body art. Elle est surtout connue pour son travail « earth-body ».

Son œuvre, explorant la binarité du genre, s’inscrit dans une vision essentialiste du corps et des rapports entre les sexes.

Pour la petite histoire : Ana Mendieta meurt après une chute par la fenêtre de son appartement situé au 34^e étage au 300 Mercer Street à Greenwich Village où elle vit avec son mari, le sculpteur minimaliste Carl Andre, avec qui elle est mariée depuis huit mois. Il est accusé de meurtre puis acquitté. Après trois ans de procédures judiciaires, son avocat décrit la mort de Mendieta comme un possible accident ou un suicide. Le juge déclare que « la culpabilité n’a pas été prouvée, au-delà d’un doute raisonnable.

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