J’ai lu de nombreuses critiques positives alors j’ai voulu lire ce livre également.
Et ce n’est pas facile.
La vie de Bakhita qui petite fille est enlevée pour être mise en esclavage au Soudan. Les marchands lui font traverser le pays à pied pour la vendre.
Elle « appartiendra » à 5 propriétaires qui lui font subir toutes les horreurs inimaginables… Il y a des passages vraiment durs même si l’auteure enrobe un peu les détails.
On a le sentiment de marcher avec elle et ses compagnons d’infortune. On tremble en se demandant ce qui va encore pouvoir lui arriver.
Adolescente elle viendra avec un consul en Italie où finalement elle passera sa vie tout d’abord au service d’une famille puis au service de Dieu.
L’auteure a romancé une histoire vraie du début du siècle dernier. L »écriture est dans le rythme du malheur de Bakhita, on s’accroche avec elle pour survivre, pour l’aider à conserver un peu d’espoir.
Je ne veux pas trop vous dévoiler toute son histoire, elle aura quand même la chance de faire quelques belles rencontres dans ce monde si effroyable…
L’avez vous lu ? Qu’en avez vous pensé ?
4ème de couv :
Elle a été enlevée à sept ans dans son village du Darfour et a connu toutes les horreurs et les souffrances de l’esclavage. Rachetée à l’adolescence par le consul d’Italie, elle découvre un pays d’inégalités, de pauvreté et d’exclusion.
Affranchie à la suite d’un procès retentissant à Venise, elle entre dans les ordres et traverse le tumulte des deux guerres mondiales et du fascisme en vouant sa vie aux enfants pauvres.
Bakhita est le roman bouleversant de cette femme exceptionnelle qui fut tour à tour captive, domestique, religieuse et sainte. Avec une rare puissance d’évocation, Véronique Olmi en restitue le destin, les combats incroyables, la force et la grandeur d’âme dont la source cachée puise au souvenir de sa petite enfance avant qu’elle soit razziée.
Tagué:afrique, Bakhita, esclavage, italie, religion, Veronique Olmi

sujet trop lourd pour moi, merci pour l’article
J’aimeAimé par 1 personne
Oui c’est pas facile
J’aimeJ’aime