La fin de Rock en Seine, se remettre puis reprendre le travail, une semaine tout en nuances 😉
Pour m’évader je suis allée au cinéma, j’ai lu aussi.
Ma semaine en images :
Dimanche 27 # Jour 239 : Dernier jour de Rock en Seine <3, vous pouvez tout lire ici 🙂
Lundi 28 # Jour 240 : Pause … 😉
Mardi 29 # Jour 241 : Un petit film comédie italienne pour replonger dans le quotidien.
Mercredi 30 # Jour 242 : Une chouette comédie avec 2 acteurs formidables 🙂
Jeudi 31 # Jour 243 : Cadeaux souvenirs d’Autriche de mon amie Monette Merci 🙂
Vendredi 1er septembre # Jour 244 : Très courte visite de mon chat, il vient parfois pour manger mais repart aussi vite 😦
Samedi 2 # Jour 245 : Film japonais sur la boxeuse japonaise Keiko Ogasawara qui est sourde. Je vous en parle très vite.
J’ai aussi repris le travail, dans 10 jours, nous allons rendre hommage à mon amie Marie-Martine qui nous a quittée cet été. J’organise, je pense tellement à elle…
Je vous souhaite un bon dimanche, je vais aller voir une expo pour changer 😉
Rock en Seine est terminé pour cette année, une belle édition rock et féminine. Bravo 🙂
La tendance (selon mes observations) est pour les filles le petit haut brillant souvent doré et le retour en force des santiags ! Pour tous, c’est la banane portée en biais sur l’épaule.
Bravo à Rock en Seine pour l’organisation, peu d’attente aux toilettes et c’est toujours propre, pas d’attente au bar (selon les garçons) et même si c’est un peu cher, ce que l’on a mangé était vraiment bon.
Le truc pénible ce sont les gens qui ne tiennent pas en place, ils arrivent en retard, repartent avant la fin, vont chercher des bières, bref ça circule tout le temps sans gêne, en bousculant parfois… Le summum a été pendant Foals 😦
Mais une belle journée de musique, on commence avec Angel Olsen, du folk rock country, pas ce que je préfère mais pour commencer la journée c’est pas mal 😉
Sur la grande scène on découvre avec plaisir Nova Twins, 2 londoniennes explosives qui proposent un rock punk rageur qui réveillent tout le festival. Gros succès.
Retour à la Cascade avec une chouette découverte pour moi Gaz Coombes, sa pop rock soul, sa voix m’emportent. Je vais réécouter dès aujourd’hui 🙂
Petite pause pour manger quelque chose, on regroupe déjeuner et diner 😉
En suivant sur la Cascade, se produit The Murder Capital, un groupe irlandais de rock post punk engagé. On les reverra c’est sûr.
On file vers la grande scène (on en fait du chemin !) pour Amyl & the sniffers, du punk australien mené par Amy Taylor et son énergie débordante. Elle a une voix un peu criarde pour moi mais partage une évidente bonne humeur.
Retour à la Cascade pour Wet Leg, 2 anglaises guitaristes et chanteuses, de la pop rock indie malheureusement troublée par une belle averse qui nous fait renoncer. Les arbres n’abritent pas vraiment bien de la pluie 😦
Je n’ai pas de photo présentable 😉
On repart pour Foals sur la grande scène, on les a déjà vu plusieurs fois, j’aime bien. Concert très pro qui tourne bien, du rock dance punk mâtiné d’electro explosif, un son vraiment top. Dommage que les festivaliers ne tiennent pas en place !
Pour finir cette édition, The Strokes que l’on est content de découvrir. C’est noir de monde, on ne peut pratiquement plus bouge…
Alors c’est très moyen, certains morceaux sont très chouettes mais il y a des arrêts entre les morceaux, Julian Casablancas discutent mais ne nous dit pas ce qu’il se passe… Sur X (ex twitter) les avis sont partagés entre gros problèmes techniques et abus d’alcool du leader… C’est vraiment dommage, je viens de réécouter quelques titres en écrivant cet article, ça aurait pu être bien.
Bilan très positif de ces 4 jours… Une chouette fin d’été en musique comme je le disais plus haut rock et féminine. Un rendez vous amical également, ça booste pour aborder la rentrée 🙂
J’espère que vous aurez la curiosité d’aller écouter quelques titres, vive la musique et le rock 😉
Jour 3 plus calme pour moi… J’ai fait l’erreur de boire un Spritz en début d’aprem, oui c’était sympa il n’y avait personne au stand, mais avec le soleil qui était quand même bien là, cela m’a un peu assommée ! Et on a loupé le premier concert de Parlor Snakes.
Nous avons donc commencé avec Ethel Cain, une jeune américaine, qui joue de la pop douce avec des paroles sur des sujets difficiles… Ce n’est pas elle qui allait nous réveiller.
Direction la grande scène pour Altin Gün que j’ai bien aimé. Un groupe mi turc, mi néerlandais aux influences diverses donc, un son avec des notes orientales, une belle voix de la chanteuse. Un bon moment. A réécouter.
Nous sommes allés manger une petite assiette de saumon grillé au feu de bois puis écouter d’un peu loin Noga Erez qui aurait mérité plus d’attention. Une artiste israélienne qui propose un mix pop groove hip-hop créatif.
Pas envie de retourner à la grande scène, nous avons écouté The amazons, un jeune groupe rock britannique sympathique et dont on entendra certainement reparler.
Mes ami.e.s sont allés voir Dry cleaning, un a adoré, les autres beaucoup moins 😉
Je suis allée voir Tamino dont mon amie Isa me parle depuis longtemps et que je n’avais jamais vu.
Ce jeune belge a une voix en or et nous offre une prestation parfaite. Sa musique ambiance folk et lyrique emporte facilement. Mais pour moi, c’est un concert à voir dans une salle plus confidentielle.
Je rejoins la grande scène, j’y retrouve mes ami.e.s et Cypress Hill nous offre un show décoiffant. Ils remplacent en presque dernière minute (l’annonce date de quelques jours) Florence and the Machine.
On les a déjà vu ici même en 2010 et 2017, ils ont ce soir une super énergie, sont toujours des défenseurs de la marijuana, ils déploient un rap hop hop latino incroyable. Ils fêtent les 30 ans de leur album Black Sunday qui n’a pas pris une ride.
Pas le courage d’aller voir Yeah Yeah Yeahs, j’attends le grand concert du soir…
The Cheminal Brothers, les anglais de Manchester nous emportent dans leur electro big beat avec des images puissante. Ambiance boite de nuit géante. C’est à la fois hypnotique et transcendant même si le son est vraiment fort. On les avait vu au même endroit en 2015 🙂
Sur le chemin de la sortie, on a entendu Charlotte de Witte, Une jeune femme DJ qui mixe une techno minimale et acid… Puis un peu plus loin Overmono, 2 gallois, qui proposent de la techno electro. On ne s’attarde pas, il y a encore une journée…. 😉
Finalement, j’avais l’impression d’avoir moins profité mais c’est quand même une belle journée. Et bravo Rock en Seine pour cette belle place faites aux femmes.
Une question pour finir : les jeunes qui nous accompagnent (entre 20 et 30 ans) ne connaissent pratiquement aucun des groupes proposés et nous (entre 45 et 60 ans) non plus… On écoute tou.te.s pas mal de musiques toute l’année. Où Rock en Seine les trouvent ils ? On est content.e.s de faire des découvertes…
Bon dimanche à vous. Je suis encore en congés demain, compte-rendu du dernier jour dans la matinée.
Jour 2, attention marathon, après la pause nous étions en forme et il faisait beaucoup moins chaud, sans pluie… Parfait 🙂
Nous sommes arrivé.e.s dès l’ouverture sans précipitation.
Beaucoup de places pour les femmes cette année à RES, c’est chouette.
On commence avec Upsahl, une jeune américaine qui fait de la pop rock sympathique, mais on n’est pas encore dans l’ambiance, pas facile de jouer à 15h30…
Turnstile nous réveille directement avec sa musique punk électrique, le genre de découverte qui nous fait aimer RES 🙂
Bertrand Belin, sur la grande scène, une belle place pour de la chanson française, et on passe un excellent moment dans son univers musical et littéraire. Il est accompagné d’excellents musiciens. Sa musique est riche et variée, il la porte de façon très élégante comme me l’a dit mon ami S.
Et on continue sans transition avec Viagra Boys, un groupe suédois qui décape vraiment. Le chanteur parle français avec l’accent belge 😉 C’est du rock post punk très énergique, bouillonnant dit le programme sans nous tromper.
Nous allons manger une salade, tout proche de la scène et on ne loupe rien.
Retour sur la grande scène pour Boygenius, un groupe de trois musiciennes, comme son nom ne l’indique pas. Julien Baker, Phoebe Bridgers et Lucy Dacus font des carrières solos et aiment également se retrouver toutes les 3. Mais on n’accroche pas trop à leur musique folk.
Nous repartons voir Flavien Berger que l’on découvre, un touche à tout, la musique pourrait nous plaire mais ses chants nous font abandonner assez vite…
Du coup on écoute de loin Silly Boy Blue, une nantaise qui fait de la pop « très jeune », à suivre dans les années à venir…
La soirée commence avec Christine and the Queens, que je n’avais jamais vu sur scène. Sa prestation est excellente, il nous emmène dans un univers peuplé de statues antiques et d’anges. Electro-pop portée par une belle voix et une chorégraphie originale, un chouette concert.
Pendant ce temps, notre ami S est allé voir Pogo Car Crash Control, une heure de pogo intense, il a adoré.
Je fais une pause en attendant le dernier concert mais des ami.e.s vont voir Fever Ray et reviennent content.e.s.
Grand concert du soir avec Placebo, c’est le dernier concert de leur tournée. Brian Molko et Stefan Olsdal sont en forme, ils nous demandent de ne pas filmer le concert pour vraiment profiter du spectacle et ça marche plutôt bien. Les images retransmises sur les écrans sont dans un joli flou artistique. Je n’ai fait que 7 photos discrétement, pour partager un peu avec vous quand même.
La voix de Brian Molko est vraiment incroyable, leur musique nous emportent avec leurs nombreux tubes. Malheureusement, ils partent un peu vite …
Voilà, une belle première vraie journée, Rock en Seine comme on l’aime pleine de découvertes, de la bonne musique et des ami.e.s ❤
La météo est optimiste pour aujourd’hui, température tempérée et pas de pluie, j’espère qu’elle dit vrai. Je vous souhaite une bonne journée. A demain pour la suite de RES …
Rock en Seine, c’est reparti, cette année encore pour 4 jours même si ce premier jour est particulier.
7 artistes féminines aujourd’hui « seulement »… Une journée pour Billie Eilish, la star internationale, si jeune et qui a déjà remporté tous les prix possibles.
Mais bon commençons par le commencement 😉
Les portes ont tardé à ouvrir, si bien qu’il y a eu un gros embouteillages humains à l’entrée et que la première artiste à jouer Lucie Antunes a du se sentir bien seule. Dommage RES pour ce loupé.
Nous avons donc débuté avec Tove Lo sur la grande scène. Tove Lo est suédoise, sa pop est entrainante, elle est souriante et dynamique. Sa tenue est particulière, son soutien gorge un peu petit mais voir ses seins ne fera pas chez nous le même effet qu’au Super Bowl… Son show respire la bonne humeur. Contents d’être à Rock en Seine.
Nous restons sur la grande scène, il fait très lourd et comme nous ne connaissons pas les petits groupes de l’autre scène, bref, on se la joue très tranquille.
Girl in red, artiste norvégienne toute jeune qui nous propose de l’indie-pop entêtante très sympa. Nous l’avions déjà vue en 2019, elle avait été mon coup de coeur du jour et elle confirme ici. Chanteuse guitariste, elle nous emmène dans son monde avec douceur et sourires.
Il y a déjà énormément de monde, et nous ne bougeons toujours pas pour attendre la star du jour… Il fait toujours très chaud, RES annonce un risque de pluie sur les écrans mais au final pas de douche rafraichissante, à minuit passé il fait encore 26° (pour nous c’est encore beaucoup).
Billie Eilish, très jeune femme (21 ans) et star mondiale, nous offre un show assez classique qui se termine pas un petit feu d’artifices (c’est la première fois à RES je crois).
Je ne connaissais vraiment pas bien, je m’attendais à être davantage surprise, j’ai bien aimé, elle a une très belle voix, elle assure vraiment sur scène, seule ou avec son frère, sa pop est innovante et engagée.
Je vais réécouter pour mieux comprendre le « phénomène » 🙂
Une première journée suivie d’une pause ce jeudi, et demain commence la vrai week-end Rock en Seine avec Placebo, The Strokes, The Chemical brothers et en invité surprise Cypress Hill 🙂 Pour la grande scène, nous serons au deuxième arbre après l’espace VIP beaucoup moins gênant que l’année dernière. Je vous raconterai tout cela ici le matin.
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