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#365defiphoto – Saison 5 – Semaine #42

Une semaine riche en expo, balade et cinéma mais avec quelques temps de pause aussi 😉

Attention nous sommes passés à l’heure d’hiver, il est super tôt donc 😉

Ma semaine en image :

Dimanche 21 # Jour 294 : Journée à Lyon, visite de l’expo Bernar Venet au Musée d’Art Contemporain, très chouette.

Lundi 22 # Jour 295 : Un de mes fils avait envie de tartiflette, je confirme ce n’est pas régime !

Mardi 23 # Jour 296 : Vue de ma chambre par hasard…

Mercredi 24 # Jour 297 : Soirée ciné, pas le film idéal pour se changer les idées mais très fort émotionnellement.

Jeudi 25 # Jour 298 : Courses en préparation d’un joli gâteau d’anniversaire 😉

Vendredi 26 # Jour 299 : Journée d’expos avec celle de Picasso au Musée d’Orsay, soirée à Chaillot, beau ballet de Ohad Naharin.

Samedi 27 # jour 300 : 300 ça sent la fin d’année qui approche vite vite ! Journée calme avec petit ciné d’après midi.

Une nouvelle semaine qui file à toute vitesse.

Un dimanche ciné et lecture, ça me plaît comme programme. Peut être un thé aussi ?

Je vous souhaite une bonne journée.

Capharnaüm de Nadine Labaki

Ciné hier soir pour ce film franco-libanais tourné à Beyrouth (je crois).

Un jeune garçon des quartiers très pauvre Zain se révolte contre ses parents qui font des enfants sans avoir les moyens de leur permettre de vivre décemment.

A 12 ans environ, il ne sait pas son âge sa naissance n’a pas été déclarée, il ne va pas à l’école, il fait des petits boulots pour aider la famille.

Quand il comprend que sa soeur de 11 ans a été « vendue » pour être mariée, il fuit.

Dans un parc d’attraction il rencontre une jeune mère éthiopienne qui l’accueille pour qu’il garde son bébé quand elle travaille.

Zain est vraiment incroyable, il joue presque son propre rôle. Quelle vie de misère, comment peut on laisser des enfants dans un tel dénuement ? Et le bébé Yonas, quel regard incroyable. Il donne tout son amour à sa mère et à Zain son nouveau compagnon. Les scènes avec les 2 enfants sont tellement prenantes, on est partagé entre pleurer ou se révolter.

Chacun joue presque son propre rôle même si ce n’est pas un documentaire. Ils ont en chacun d’eux une force, est elle liée à la misère ?

C’est un beau film sur un sujet bien difficile, des sujets d’ailleurs, l’enfance maltraitée, les réfugiés, le trafic des personnes, les mariages forcés, les prisons…

Je vous le conseille, on ne peut pas faire comme si tout cela n’existait pas.

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