
Ce film est un biopic sur Niki de Saint Phalle, quand elle est jeune femme, ses débuts artistiques.
Niki est américaine par sa mère et française par son père, elle s’est mariée très jeune avec le poète Harry Mathews. Il lui permet de faire ses essais artistiques et de se lancer pour devenir artiste elle aussi. Ils ont 2 enfants. Niki souffre de dépression, elle fait des séjours en hôpital psychiatrique, elle garde un profond secret d’inceste qu’elle dévoilera beaucoup plus tard.
Le film fait un beau portrait de cette artiste qui a marqué son temps, on découvre une artiste en devenir pleine de passion et de tourments. On ne voit pas les oeuvres les plus connues de Niki de Saint Phalle puisque le film ne traite pas de cette période de sa vie, il nous encourage donc à aller les voir dans les musées. On ne les regardera certainement plus pareil !
Charlotte Lebon est excellente et les seconds rôles également. J’ai bien aimé ce portrait féministe.
Avez vous vu le film ? Qu’en pensez vous ?
Souvenirs de l’expo du grand Palais à partager.
Synopsis :
Paris 1952, Niki s’est installée en France avec son mari et sa fille loin d’une Amérique et d’une famille étouffantes. Mais malgré la distance, Niki se voit régulièrement ébranlée par des réminiscences de son enfance qui envahissent ses pensées. Niki trouvera son chemin vers la lumière et dans l’art une arme pour s’en libérer.
Tagué:Art brut, biopic, ciné, Harry Matthews, Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle

Ah, cette chronique me donne envie d’aller le voir 😉
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Tu me diras …
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J’aime beaucoup cette artiste.
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Certaines de ses oeuvres vieillissent mal mais sinon oui j’aime aussi
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[…] 21 # Jour 295 : La jeune femme qu’était Niki de Saint Phalle, un film […]
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