
J’ai lu ce second roman polar de Paul Colize cette semaine après Un monde merveilleux. Très très bien aussi 🙂 Aucun lien entre eux.
Nous sommes à Bruxelles, des tags magnifiques mais assez violents apparaissent sur les murs. Et une jeune femme est assassiné. Un artiste Niko est arrêté, il ne se défend pas vraiment, il dit juste que ce n’est pas lui.
En parallèle, on part dans la guerre de Yougoslavie au côté d’un petit garçon.
La police a un coupable tout trouvé mais l’avocat de Niko et la psychiatre qui doit définir s’il est responsable de ses actes ont des doutes et mènent l’enquête.
La double histoire est très intéressante, un livre que l’on ne lâche pas…
L’avez vous lu ? J’espère vous donner envie de lire Paul Colize 😉
4ème de couverture :
Dans la banlieue de Bruxelles, une jeune femme est retrouvée sans vie, poignardée. Tout accuse Nikola Stankovic, dernière personne qu’elle a appelée : les caméras de surveillance, ses vêtements maculés de sang et les croquis de la scène de crime découverts dans son atelier. Surnommé le Funambule, Niko est un graffeur de génie, auteur de fresques ultra – violentes. Incarcéré, l’homme ne répète plus qu’une seule phrase : « C’est pas moi. » Son avocat et sa psychiatre décident de suivre leur instinct et de laisser venir l’histoire. La vraie, celle de Niko et celle de tout un pays détruit par la guerre…
Tagué:Bruxelles, Nikola Stankovic, paul colize, polar, violence, Yougoslavie

Super souvenir de lecture !
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C’est un auteur touchant, j’avais aimé le rencontrer au salon de St Maur
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