
Sur les conseils de Coco, j’ai emprunté ce livre à la bibliothèque. J’ai déjà lu 2 livres de cette auteure que j’ai beaucoup aimé.
On retrouve ici toute la douceur et la délicatesse de l’auteure japonaise, ce livre est très émouvant.
Shizuku est gravement malade, elle décide de se rendre sur l’île au citrons pour finir ses jours. Elle est accueillie à la Maison du lion par Madonna qui partage avec ses invité.es une immense bienveillance.
Shizuku découvre un lieu superbe, la mer, le ciel, et pour ses dernières semaines, une nouvelles vie.
Madonna fait attention à tout pour le confort de Shizuku, le choix attentionné de la nourriture, la possibilité de se promener, des soins spécifiques que ce soit du corps ou de l’âme. Mille petits détails qui font que la peur de la mort s’éloigne.
C’est un superbe livre plein d’émotions même si le sujet n’est pas facile.
4ème de couverture :
Ce qui fait de ce livre grave et pudique un roman solaire, c’est d’abord le lieu : l’île aux citrons dans la mer intérieure du Japon, qu’il faut gagner en bateau ; et encore, l’image magnifique de l’union de la mer, du ciel et de la lumière : la mer scintillante, illuminée par un incroyable sourire, surplombée par la Maison du Lion, ce lieu de paix où Shizuku a choisi de venir pour vivre pleinement ses derniers jours en attendant la mort.
Avec elle, nous ferons la connaissance des pensionnaires – ses camarades, ses alliés et pour tout dire, sa nouvelle famille – ainsi que de la chienne Rokka qui s’attache à elle pour son plus grand bonheur. En leur compagnie, il y aura aussi les goûters du dimanche où grandit peu à peu son amour de la vie quand on la savoure en même temps qu’un dessert d’enfance, une vie qui aurait le goût de la fleur de tofu, d’une tarte aux pommes ou des mochis-pivoines.
Avec la délicatesse d’écriture que nous lui connaissons dans ses précédents romans, Ogawa Ito entraîne peu à peu Shizuku sur un chemin de poésie dont la mélodie possède la voix grave et conciliante d’un violoncelle ; un chemin apaisé comme pour dire la gratitude d’exister. »
Tagué:bienveillance, famiille, Ito Ogawa, japon, Maison du lion, mort, Shizuku

Je l’ai dans ma pal mais je ne me rappelais pas que je te l’avais conseillé .je ne l’ai pas encore lu .je t’avais parlé de la péninsule aux 24 saisons d’inaba mayumi .je l’ai lu cet année
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Je crois bien, j’ai réservé le second aussi à la bibliothèque.
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Le sujet me fait peur mais le roman me tente depuis sa sortie. Merci pour ton avis.
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Le livre est vraiment très doux
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j’ai beaucoup aimé ce livre !
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Merci de partager avec nous
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Toute la delicatesse de la littérature asiatique. Mais je ne l’ai pas lu
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A noter dans ta liste 😉 Bises
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lu enfin ce livre ,trop beau .un plaisir même si le sujet n’est pas facile
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Merci encore de ce conseil 🙂
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[…] beau roman japonais : Le goûter du lion de Ogawa […]
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