Soirée Maurice Béjart à l’Opéra de Paris

Merci à mon Comité d’entreprise de me permettre de voir de tels spectacles…

3 ballets chorégraphiés par Maurice Béjart dans les années 60/70 présentés à l’Opéra Bastille.

L’oiseau de feu (photo) sur la musique de Stravinsky avec Francesco Mura dans le rôle de l’oiseau de feu et Alexandre Gasse en oiseau phénix ainsi que le corps du ballet.

C’est superbe, les danseurs et danseuses sont impressionnants, c’est presque de la danse classique en fait…

Ensuite Le chant du compagnon errant, musique de Gustav Malher, chant Samuel Hasselhorn. Duo de danseur : Antoine Kirscher et Enzo Saugar. Ils sont magnifiques mais cela me parle moins.

Et puis pour finir en toute beauté Le boléro de Ravel avec une danseuse étoile Dorothée Gilbert au milieu des hommes dans le rond rouge… Cette chorégraphie envoutante, cette musique parfaite… Cela change un peu dansé par une femme, c’est plus gracieux, moins en force, c’est parfait aussi. (Je n’ai pas trouvé de photo avec Dorothée Gilbert)

Le boléro restera intemporel, les autres ballets ont un peu vieilli, disons qu’aujourd’hui la danse contemporaine peut être plus époustouflante. Mais j’ai quand même passé une excellente soirée.

Sur le site de l’Opéra :

Le compagnonnage de Maurice Béjart avec l’Opéra national de Paris aura duré plus de quarante ans et offert au répertoire de l’institution plus d’une vingtaine de pièces. À travers ce programme, dédié au chorégraphe disparu il y a  quinze ans, le Ballet de l’Opéra présente trois œuvres créées dans les années 1970 et qui brillent d’une même intensité chorégraphique et musicale. L’Oiseau de feu, imaginé pour les danseurs de la Compagnie, est une ode à la jeunesse sur une puissante partition de Stravinsky dont le chorégraphe s’empare pour en extraire la quintessence. De jeunes « partisans » rechargent leur ardeur et leur énergie à la source de vie représentée par l’Oiseau de feu. Écrit pour deux danseurs masculins, Le Chant du compagnon errant est une œuvre intimiste sur un cycle de lieder de Mahler qui laisser percevoir toute la rigueur et la grâce du langage de Béjart. Enfin, le mythique Boléro épouse la partition éponyme de Ravel. Entouré de danseurs, seul sur une table, l’interprète principal – danseur ou danseuse – se laisse transporter par les rythmes envoûtants dans une danse érotique et hypnotique comme un vibrant appel à la vie.

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4 réflexions sur “Soirée Maurice Béjart à l’Opéra de Paris

  1. Corinne. 27 avril 2023 à 8 h 42 min Reply

    Je vois sur la bande annonce de You Tube Dorothée Gilbert, je crois! Faute d’accéder aux spectacles, quand je lis vos articles sur Don Juan, l’Avare, ou Béjart , je vais regarder les « trailers » sur You Tube: vous me faites découvrir un peu les versions modernes de ces oeuvres: merci ( j’avais adoré le Boléro jadis avec Nicolas le Riche…à la télé ! ).

    Aimé par 1 personne

  2. manika27 27 avril 2023 à 17 h 45 min Reply

    ça devait être assez long comme spectacle non ?

    Aimé par 1 personne

    • mhf le blog 28 avril 2023 à 22 h 06 min Reply

      Non 3 fois 20 minutes avec des entractes mais au final pas plus de 2 heures…

      J’aime

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