
Contente de retrouver cet auteur et ses « héros » même si cet épisode est un peu en marge car on quitte la Suisse pour la Polynésie française. L’action se passe au même moment que son précédent livre Brume rouge. On peut cependant les lire indépendamment.
Merci aux Editions Slatkine pour ce nouveau livre.
On retrouve Tanja en Polynésie après ses soucis judiciaire, elle est en contatc avec Flavie son amie et assistante du procureur Norbert Jamsen.
Tanja en se promenant sur la plage découvre le corps d’une jeune femme, elle appelle la police mais ensuite l’enquête lui semble un peu bâclée, alors elle décide de fouiller elle même pour retrouver le nom de la victime, elle ne croit pas à une attaque de requin.
Elel a quand même le chic pour se mettre dans … les ennuis 😉
Car bien sûr tout s’enclenche ensuite très vite et Tanja ne va pas pouvoir faire grand chose pour calmer la tempête.
Je ne vous en dis pas plus pour garder le suspense… Un livre au rythme rapide, dépaysement garanti sur les îles mais ça ne ressemble pas à une carte postale idyllique de palmiers et sable fin.
L’auteur aborde en parallèle des problèmes bien actuels d’environnement, des conséquences des essais nucléaires, Greenpeace, le braconnage des tortues marines…
Toute la série est sympa… Du bon polar suisse 😉
4 ème de couverture :
Tanja Stojkaj a quitté Neuchâtel et s’est exilée en Polynésie française avec sa mère et son fils pour les protéger de la mafia balkanique. Sur un motu de Bora Bora, elle mène une vie paisible jusqu’à la découverte d’un corps près du récif corallien. La gendarmerie conclut rapidement à une attaque de requin. Refusant que l’affaire soit classée, Tanja cède à ses anciens réflexes d’enquêtrice et découvre, derrière les eaux turquoise et les plages de sable blanc de la Perle du Pacifique, l’envers de la carte postale : trafics, pauvreté, croyances occultes, matériel militaire à l’abandon, pollution du lagon. Au-dessus de tout cela plane l’ombre d’un mensonge : celui de la politique métropolitaine et des essais nucléaires français.
Du paradis à l’enfer, il n’y a qu’un pas. Et un torrent de larmes.
Tagué:Nicolas Feuz, polar, Polynésie, Tanja Stojkaj
Je n’ai pas été convaincue par « les larmes du renard » mais vu le dépaysement peut être que je lirais celui là. merci
J’aimeAimé par 1 personne
Heu, ce n’est pas ce titre… Je ne sais plus 😉
J’aimeAimé par 1 personne