Nouvelle invitation de Xavier que je remercie +++.

Le spectacle est mis en scène par Philippe Sohier.

C’est la première fois que je vois Christophe Alévêque sur scène, je le connais par la télé et ses critiques politiques surtout sous Sarko j’ai l’impression.

Pas facile en ce moment de rire de l’actualité. Le spectacle tourne autour de la pandémie et le descriptif du confinement est vraiment drôle.

Par contre quand il se moque des féministes, je trouve que le « vieux con » n’est pas loin 😉

On passe un bon moment, c’est rythmé, diversifié, on n’es pas forcément toujours d’accord mais on ressort avec le sourire et ça en ce moment c’est vraiment appréciable.

C’est jusqu’en avril et aussi les soirs d’election, résultats en direct…

Sur le site du théâtre :

« On peut être vieux con et moderne à la fois ! »

Il en a marre et il le dit. Il s’en prend à la bien-pensance des Bisounours en place, aux bières sans alcool, aux journées sans tabac et autres charcuteries maigres. Il fonde le club des « Vieux Cons Modernes », en réponse à la dictature molle d’une pensée tiède, aux inquisiteurs du nouvel ordre moral, et raconte le monde à son fils de deux ans. Il en fait un livre et un spectacle. Humoriste engagé, dégagé, à la marge, clown dérisoire ou missionnaire, Christophe Alévêque défend une liberté d’expression totale et sans entrave, une imagination débridée, sans autocensure ni censure du tout. « L’empire du bien » peut trembler, Alévêque revient dans son armure de Vieux Con, s’attaque aussi à la mièvrerie de la « relève » sans épargner l’hypocrisie des aînés, et brûle le plateau avec son insolente et lucide férocité.

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