Depuis quelques semaines je lis moins, et je n’ai pas pris le temps de vous parler ici du peu que l’ai lu. J’ai été un peu trop occupée. J’espère que je vais pouvoir retrouver un meilleur rythme.

Ce petit livre ma beaucoup plus, une très vieillle dame nous raconte sa vie dans des circonstances incroyable puisqu’elle est en garde à vue.

Elle dévoile donc ses secrets à l’inspecteur qui n’en revient pas. Et ses souvenirs remontent à la guerre… Une vie de femme forte, qui n’a pas toujours eu de chance mais une volonté d’acier pour s’opposer aux hommes quand ils le méritaient.

C’est drôle mais aussi tendre, on a envie de soutenir cette pauvre femme. Et puis on remonte l’histoire des femmes, du patriarcat, de la domination masculine. Un féminisme que l’on ne nomme pas mais qui est bien là.

J’ai bien aimé, j’ai passé un bon moment avec cette mamie Luger (c’est le nom d’un pistolet de guerre).

Connaissez vous ce livre ? Et son auteur ? Qu’en pensez vous ?

4ème de couverture :

Six heures du matin : Berthe, cent deux ans, canarde l’escouade de flics qui a pris d’assaut sa chaumière auvergnate.
Huit heures : l’inspecteur Ventura entame la garde à vue la plus ahurissante de sa carrière. La grand-mère au Luger vide son sac, et le récit de sa vie est un feu d’artifice. Il y est question de meurtriers en cavale, de veuve noire et de nazi enterré dans sa cave. Alors… Aveux, confession ou règlement de comptes ? Ventura ne sait pas à quel jeu de dupes joue la vieille édentée, mais il sent qu’il va falloir creuser. Et pas qu’un peu.

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