Dernier spectacle de notre abonnement Théâtre de la Ville

Un spectacle mi-théâtre mi-danse avec de jeunes artistes et même quelques enfants parisiens.
C’est en portugais sur-titré en haut de la scène, et ce n’est pas très pratique, soit on lit, soit on regarde. Et ils parlent beaucoup quand même.
Ils font le parallèle entre un livre et l’époque contemporaine. Ils abordent de nombreux sujets, les jeunes livrés à eux-même, la violence, la famille, l’amour, le racisme, l’homosexualité, la mort… Le lien entre ces jeunes au passé difficile est très fort.
J’ai bien aimé dans l’ensemble mais ne comprenant pas le portugais, c’est un peu complexe. Trop de choses abordées, pas assez de place pour la danse. Mais c’est très chouette, ces jeunes ensemble partagent toute leur énergie.
Victor Hugo Pontes, un nom à retenir 😉
Sur le site du théâtre :
20 interprètes, acteurs, danseurs et groupe d’enfants pour un voyage urgent à la marge d’une société violente.
En 1937, l’écrivain brésilien Jorge Amado publie Capitaines des sables, une nouvelle de choc qui poétise le quotidien d’un groupe de jeunes à la dérive, luttant pour la survie en se protégeant les uns les autres. Ces jeunes Misérables, vivant en marge de la société à Salvador de Bahia, ne pouvaient qu’inspirer Victor Hugo Pontes, chorégraphe et metteur en scène portugais reconnu et très engagé (dans la ligne de son prénom!).
Pour Margem, il travaille avec un groupe de douze acteurs et danseurs professionnels entourés d’enfants amateurs qui vont constituer une petite communauté en rupture de ban et puissamment solidaire. Margem restitue toute l’urgence d’une mémoire verbale et corporelle authentique qui aborde, avec courage et sans tabous, le racisme, le sexe, la mort et l’espoir.
Tagué:abesses, danse, theatre, Victor Hugo Pontes
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