J’ai pu lire la dernière nouveauté des Editions Slatkine & Cie.
Merci pour cette découverte.
Hanna travaille dans l’antarctique au milieu de nulle part avec une équipe de recherche.
Au milieu de la tempête de neige, elle reçoit un mail lui annonçant la mort de son amie d’enfance qu’elle n’a pas revu depuis leur entrée en fac.
Entre son travail, le quotidien glacial, elle se souvient de son amie, de leur enfance et adolescence avec son frère. Elle se souvient de la rupture, son amie a disparu sans donner d’explication. Pour essayer d’oublier, Hanna s’est éloigné de tout le monde et a poursuivi son rêve de recherche dans l’antarctique, rêve qu’ils avaient tous les 3 enfants.
L’écriture est riche, les souvenirs se mêlent au présent sans être confus. Hanna fait une sorte d’introspection. Et moi aussi du coup, ça fait réfléchir sur le temps qui passe et ce que l’on a laissé derrière nous.
C’est un petit livre, moins de 200 pages, agréable à lire.
4ème de couv :
Hanna est glaciologue, en expédition sur la base antarctique d’Amundsen-Scott. Elle étudie les mouvements passés du climat.
L’équipe de chercheurs est tendue, on annonce une tempête, un Whiteout, un Blanc dehors, ce moment redoutable où ciel et sol se confondent dans une unique blancheur et où toute activité humaine se paralyse.
Hanna reçoit alors un mail de son frère, une seule ligne qui lui apprend la mort de sa meilleure amie d’enfance, disparue vingt ans plus tôt sans aucune explication.
Un roman poétique sur la perte, la mémoire et la solitude.
Tagué:Anne Von Canal, antarctique, Edition Slatkine, recherche, Scott

Tu me l’prêteras stp ? 🙂
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Volontiers
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