J’ai beaucoup aimé cet été Les soldats de l’aube du même auteur, alors mon ami P. m’en a prêté plusieurs autres.
Je vais essayer de les lire dans l’ordre tant qu’à faire mais en intercalant avec d’autres pour ne pas faire un spécial Meyer pendant plusieurs semaines.
Le début de celui-ci est un peu long mais tout s’arrange très vite, enfin l’intrigue se noue et impossible de lâcher le livre.
C’est en Afrique du Sud, un flic un peu paumé, son nouveau chef, ses collègues et des meurtres en série nous entraînent dans les profondeurs du Cap.
L’auteur décrit l’Afrique du Sud et les séquelles de l’apartheid, c’est bien vu et instructif en plus.
Je participe avec cette lecture au défi de Virginie B que vous pouvez retrouver cette semaine ici.
Que lisez-vous cette semaine ?
Mat Joubert, capitaine à la Brigade des vols et homicides du Cap, en Afrique du Sud, est sur ses gardes depuis l’arrivée du colonel Bart De Wit. Celui-ci, récemment nommé à la tête de ce service par le ministre noir de l’intérieur, est un ancien de l’ANC, vif, calculateur et ambitieux. À peine installé dans ses nouvelles fonctions, il demande à Mat d’arrêter de fumer, de perdre quinze kilos, et l’envoie chez une psychologue pour qu’il retrouve toute son efficacité dans le travail. Tâche difficile pour le capitaine qui a perdu son épouse depuis deux ans et, avec elle, son envie de vivre et de se battre. Il lui faudra pourtant remonter le courant lorsque deux affaires réclameront sa perspicacité légendaire. La première concerne un braqueur de banque, doux, aimable, surnommé « Monsieur Mon Cœur ». La seconde est plus obscure : des meurtres sont perpétrés avec un Tokarev, arme utilisée par les guérilleros marxistes qui sévissaient en Angola et avec un mauser, ressurgi de la guerre de Boers. Poursuivi par la presse, aiguillonné par le colonel De Wit et de nouveau attiré par les femmes, Mat émerge de ses ténèbres pour plonger dans celles de l’assassin.
Ce premier roman policier de l’écrivain afrikaander Deon Meyer frappe par son authenticité et la profondeur de son analyse psychologique du personnage central. Le lecteur y découvre la nouvelle Afrique du Sud et ses tensions politiques, son racisme encore trop présent. On attend déjà le second avec impatience. –Claude Mesplède —
Tagué:Afrique du Sud, Le Cap, Mat Joubert, Meyer, polar

Intéressant voyage en prime !
J’aimeJ’aime
J’aime bien l’auteur, j’en ai plusieurs dans ma PAL 😉
J’aimeJ’aime
merci pour la découverte !
J’aimeJ’aime
J’ai hâte d’en lire un autre….
J’aimeJ’aime
Après ton conseil et avoir demandé par quoi commencer auprès de pros du polar, j’ai commandé les deux premiers « Jusqu’au dernier » et » les soldats de l’aube ». Je les attends avec impatience ! Là j’ai attaqué Glacé de B. Minier, c’est …froid 🙂
J’aimeJ’aime
[…] Jusqu’au dernier et Les soldats de l’aube, on retrouve « P’tit » Mpayipheli dans […]
J’aimeJ’aime
[…] sont donc si vous ne suivez pas 😉 des polars sud-africains : Jusqu’au dernier, Les soldats de l’aube et L’âme du […]
J’aimeJ’aime