Dernier jour de notre rendez vous annuel à Rock en Seine… Une journée où le rock a repris sa place et c’était noir de monde ! Rock en Seine, le rock a encore son public 🙂
J’ai un peu les jambes en compote, mon bilan marche du mois d’août a explosé, mais je suis bien contente de ce grand week-end musical. On aime le parc de St Cloud, notre rendez vous près de notre arbre sur la grande scène, les enfants, les ami.e.s, les rencontres surprises. Et puis les bons vieux groupes et les découvertes de nouveaux, c’est toujours agréable. Il y a des groupes que j’aime en concert et que je n’écoute pas vraiment chez moi, je ne sais pas pourquoi 😉 Tous ça pour vous dire que l’ambiance festival est vraiment sympa.
Pour ce dimanche, on commence par écouter en passant (en fait avec les garçons, on profite du début de journée quand il n’y a pas grand monde pour visiter les stands), donc on écoute d’une oreille Sylvie Kreusch, une artiste belge qui fait de l’indie-pop. Elle a une super belle robe et son staff distribue des ballons 😉
Nous retrouvons la grande scène où il y a déjà pas mal de monde alors qu’il n’est que 14h30 pour Léonie Pernet, une jeune française qui nous propose un mix de diverses influences rythmiques africaines mêlées d’electro et de textes poétiques. Elle est batteuse et semble toucher à tout. Un bon set pour commencer la journée.
Une journée Rock en Seine pas vraiment rock, on est allé de concert en concert sans être vraiment convaincu, des petites surprises agréables quand même disons par défaut sauf le final très bien.
Les jeunes sont de retour aujourd’hui après leur pause d’hier (ils ont des pass 3 jours), on commence par une balade tranquille avec un tout petit cocktail Cointreau glacé offert 😉 Il y a un grand stand Apérol mais ils ne font pas de dégustation.
La journée commence sur la grande scène avec Sophye Soliveau et sa harpe, c’est de la soul jazz très tranquille pour commencer la journée au soleil. C’est pas mal mais pour moi ça s’écoute bien installée dans un fauteuil confortable, pas sur la grande scène de RES au soleil !
Direction la scène Revolut en face ( si vous voulez vous repérer dans mes pérégrinations, le plan est ici) pour Odeal, présenté comme un globe-trotteur par le festival. Sa musique est rhythm and blues matinée d’afrobeats, il a une voix intéressante mais pour moi cela manque de musiciens…
Nous partons de bonne heure pour RES comme d’habitude (car plus tard c’est difficile de se garer) et nous revisitons tranquillement avec JL les différents stands, on joue même au stand Revolut, le système bancaire que nous avons utilisé au Japon pour éviter les frais de la banque. Si vous voyagez, c’est pratique, sinon je ne sais pas, je ne fais pas de pub !
Et on attaque direct sur la grand scène avec le concert de Calling Marian, une jeune française qui fait de l’electro-techno innovante. De nuit cela aurait été certainement plus porteur, d’ailleurs elle nous a conseillé de fermer les yeux pour qu’il fasse noir 😉 On s’est laissé porter par la musique et la journée commençait très bien. Elle a fait quelques interventions politiques contre la guerre et pour défendre les artistes engagés.
Ensuite nous écoutons Good Neighbours, des londoniens plein d’énergie positive. C’est entrainant, dynamique, un mix d’influences qui me plaisent bien 🙂 A réécouter pour confirmer.
Rock en Seine, notre rendez vous musical annuel avec les enfants et les ami.e.s. J’ai encore la tête au Japon donc c’est une toute petite première journée 😉
On est arrivé pour l’ouverture des portes, on a eu le temps de faire le tour du festival car le premier concert était une heure après. On a retrouvé notre arbre fétiche qui n’est plus en cinquième position mais c’est bien lui quand même ! On s’y retrouve facilement 🙂
Le festival a commencé mercredi avec la journée spéciale Chappell Roan mais nous n’y étions pas.
Pour tout vous dire, il y a très peu de groupes programmés que je connais ! Je vieillis mais pas que car mes garçons ne connaissent pas grand monde non plus ! Croisons les doigts de faire de belles découvertes mais c’est moins motivant quand même.
On commence avec Montell Fish, un américain qui joue caché sous sa capuche un mix de hip-hop, soul, funk un peu rock… En interview il dit être inspiré par Prince, Lauren Hill ou Jimy Hendrix. On entre doucement dans la case concert, c’est agréable, on écoute jusqu’au bout.
Dernier jour de Rock en Seine 2024, c’est passé trop vite même si ce matin mes jambes se rappellent à moi de façon inhabituelle. C’était bien, alors oui il y moins de « grosses pointures » qu’avant, moins de choix dans ce que l’on connait (mais c’est nous qui connaissons moins de groupes aussi) mais le bilan est quand même d’un haut niveau.
Je commence pour cette journée de dimanche où nous arrivons très tôt, par écouter mes garçons faire 2 chansons au Karaoké de Transavia, ils s’en sortent bien, ce n’est pas facile. On loupe les premiers groupes mais c’est bien d’être avec eux. Je les remercie d’ailleurs d’avoir passé ce grand week-end avec moi comme JL ne venait que pour les fins de soirée. Ils m’ont fait découvrir toutes les animations dans les stands, pour gagner des petits trucs, c’est sympa aussi.
Nous avons aussi croisé Quotidien en balade, reportage certainement cette semaine, je ne sais pas quand ils reprennent ? Jeudi nous avons été interviewé.e.s par LCI et une de mes voisines nous a vu dans sa télé 😉
Premier groupe écouté d’un peu loin Baxter Dury, sa pop est dynamique, il se donne beaucoup mais on n’a pas été tenté d’approcher davantage.
Encore de très loin en mangeant un burger végé (c’est tout mou) et mes enfants aiment ça, on écoute quelques titres de Giant Rooks, de jeunes allemands (ce n’est pas souvent) à découvrir peut être dans de meilleures conditions.
On passe aux choses sérieuses 😉 On est un peu loin mais c’est parce qu’il y a beaucoup de monde pour Zaho de Sagazan, vous la connaissez sûrement depuis ses prestations au festival de Cannes ou pour la Cérémonie de clôture des JO. Je l’avais vu à Solidays et je confirme, j’aime beaucoup. Elle assure carrément ses textes mélancoliques et nous emporte dans la danse avec une ambiance electro digne des plus grands. Mon coup de coeur du festival 🙂
Retour à la grande scène pour un nouveau super concert de Ghinzu, les rockeurs belges qui font l’unanimité chez mes ami.e.s (ce qui est assez rare). On les avait vu en 2016 au même endroit, ils n’ont pas fait grand chose de nouveau, ils fêtent les anniversaires de leurs albums 😉 Et c’est super, quelle énergie, quelle présence de John Stargasm. Un excellent concert de bon rock.
Retour dans un univers plus intimiste avec PJ Harvey. Une présence, une voix, des sons uniques, je suis toujours impressionnée par la qualité et l’originalité de ses prestations. Que d’émotions. Le fond de scène est superbe, sa robe magnifique, personnalisée par tout le groupe si j’ai bien compris. Il faudrait que j’aille la voir dans une petite salle, cela doit être encore plus fort. Ecoutez PJ Harvey, sa musique vous emportera…
Je n’ai pas le courage d’aller voir les Pixies, groupe culte de ma jeunesse. Mes ami.e.s qui y sont allé.e.s ne sont pas revenus très convaincu.e.s. Je vais le regarder sur France TV replay.
Du coup pendant ce temps sur la grande scène La Flamme Paralympique est passée avec Hélios Latchoumanaya, champion de judo handisport, Barbara Butch et Marjane Satrapi. Parenthèse sympa, relier aussi la culture, les arts et le sport 🙂
Et pour finir cette édition, LCD Soundsystem. On les avait vu sous la pluie à We Love Green, je me souvenais d’un show avec plus de jeux de lumières, mais bon c’était très bien quand même. Leur disons electro rock emporte tout sur son passage, on danse en se laissant porter, c’est tout ce que j’aime en fait 😉 Ravie de les avoir revu car ils ne se produisent pas souvent.
Voilà c’est fin, contente de partager toutes cette musique avec vous. Merci à Rock en Seine, à la bonne organisation, merci à mes garçons <3, aux ami.e.s qu’on ne voit pas assez mais le temps passe si vite en festival.
J’ai l’impression d’avoir oublié des trucs mais je reviens au cas où 😉
Une journée en meilleure forme, j’ai arrêté le médoc que je ne supporte pas, bon du coup j’ai encore un peu mal aux dents mais j’ai la tête plus claire…
On arrive dès l’ouverture à Rock en Seine pour pouvoir se garer facilement, avec les garçons, on a fait le grand jeu Rock en Seine Aventure, sur l’appli il faut scanner les 20 QR codes qui sont éparpillés sur tout le site et répondre aux questions. Il y a des places pour l’année prochaine à gagner et des goodies. Du coup on a exploré tout le site pendant au moins une heure trente. On croise les doigts !
Au niveau concert, c’est confirmé je ne cours plus partout toute la journée mais j’ai vu « du lourd » 😉
On commence par Astéréotypie de loin en faisant le jeu et cela nous accompagne festivement. C’est un groupe crée par un collectif de jeunes chanteurs atteints de trouble de l’autisme. C’est rock et dynamique.
On rejoint la grande scène que je ne quitterai plus ! Les garçons sont même allés me chercher de quoi manger (mais je gardais nos bonnes places pour les concerts !)
Tout d’abord Sleater-Kinney, 2 chanteuses engagées féministes et rockeuses. Leur dynamisme nous met dans l’ambiance pour la journée.
Troisième fois que l’on voit The Kills à Rock en Seine et j’aime bien. J’aime bien leur musique, ce n’est pas un groupe de scène super démonstratif mais ils assurent car pas facile à deux d’occuper cette grand scène.
La grosse fête de la journée c’est avec The Offspring super en forme visiblement content d’être là. Ils prennent de l’âge mais ils enchainent les tubes sans faiblir. Leur pop-rock-punk fait mouche pour tous les publics. C’était une super bonne dose d’énergie partagée.
Sur l’autre scène, il y avait Inhaler, les jeunes irlandais qui montent… Mon amie Isa ne jure que par eux, vous pouvez retrouver ses vidéos sur sa chaine YouTube
Et Le groupe que j’attendais, complétement fan : Massive Attack.
Ce n’est plus la même ambiance, la musique trip-hop nous emporte vers notre moi intérieur, les images renforcent le son, c’est très activiste politique et donc on reçoit comme des coups de poing que ce soit sur Gaza, l’Ukraine et tous les conflits qu’il y a dans le monde. C’est très fort.
Ils disent : « Notre nouveau spectacle en direct marque le saut le plus transgressif dans la collaboration entre 3D x United Visual Artists depuis 2003. En inversant les algorithmes pour exposer les anomalies de contenu et les boucles de rétroaction récursives, nous cherchons à provoquer un dialogue sur le rêve brisé du « moi » individuel confiant et autonome, dans le contexte de l’effondrement mondial des démocraties libérales. »
Si vous ne connaissez pas, j’imagine que cela parait obscur, allez les écoute, vraiment c’est une belle expérience sonore.
Pas facile de faire des photos, les images de fond de scène défilent très vite, la scène reste souvent dans l’ombre, c’est quand même la première fois qu’on les voit autant 😉
En partant doucement, en buvant un thé, on a entendu 2manydjs, de l’électro parfaite pour finir légèrement cette belle journée.
On a eu quelques gouttes de pluie en fin d’après-midi mais puisqu’il y avait alerte orage et vents violents, on est content d’avoir eu juste un petit rafraichissement.
Ma voisine d’en face m’a dit nous avoir vu avec mon fils sur LCI, on a répondu jeudi à quelques questions sur RES ! Waouuu on est passé à la télé mais je n’arrive pas trouver les images !
Je ne sais plus trop quel jour on est avec tout cela, je privilégie mes recap RES, je ferai donc celui de la semaine mardi 😉
Je vous souhaite une bonne journée, dernier jour de RES avec encore un chouette programme 🙂
Deuxième jour calme avec les musiques qui vont avec 😉 Pas de gros rock au programme, enfin pour ce que j’ai vu.
Ambiance jeu avec les garçons qui ont fait un karaoké, voulu à tout prix gagner des bobs, manger des chips, des fruits et des petites glaces, les rares trucs gratuits.
On commence sur la grande scène avec un groupe de fille Say She She, 3 chanteuses accompagnées par plusieurs musiciens. Sur le programme ils disent que c’est de la disco-soul-groove avec des mélodies pailletées. C’est gai, dansant, ça donne le sourire et c’est parfait pour se mettre dans l’ambiance.
Ensuite sur la scène de la cascade, on écoute Elmiene, un mix de soul et de R&B anglais. Il est tout jeune mais il a déjà fait de nombreuses collaborations. On reparlera certainement de lui.
On a profité du concert de Thomas de Pourquery, que j’ai vu une fois mais c’est trop jazz pour moi, pour aller manger. Un ami ensuite m’a dit que c’était très bien et rock, tant pis !
Comme je cherche à manger des trucs « mous » jeudi on avait fait aligot, très bon mais ça tombe un peu sur l’estomac, hier on a choisi des sandwichs aux oeufs japonais (bof) et du cheese cake japonais aussi très bon. Vous savez tout 😉
Ensuite on a écouté, allongé.e.s dans l’herbe (les garçons restent avec moi car JL n’a pas pu venir, il travaille sur la cérémonie des JO) donc on a écouté Olivia Dean, une anglaise et j’ai bien aimé. Une belle voix, de la soul avec pleins d’instruments dont des cuivres qui donnent tant de force, un joli set.
On retourne sur la grande scène pour Loyle Carner, un mix de hip-hop britannique avec du rap et des sonorités jazzy. Il donne tout de lui, je me laisse emporter et passe un bon moment. Dommage que je ne comprenne pas ce qu’il dit, ça serait tellement mieux.
Nous allons finir avec Jungle, deux frères anglais (très anglais aujourd’hui et dans le public aussi) qui font une musique electro, soul et funk avec des participations ambiance communauté. Ca commence avec une demi heure très fête et danse, ensuite un peu moins…
Il était déjà 22 h, on ne connaissait pas plus les groupes suivants, on a renoncé pour être en meilleure forme pour surtout Massive Attack ce soir 🙂
Vous vous doutez que je n’avais pas retrouvé une grande forme, j’ai un peu mieux dormi cette nuit, je me booste pour aujourd’hui. Désolée pour les photos, en fait je n’en ai pratiquement pas prises sans vraiment m’en rendre compte. Je me rattrape promis pour demain. Je ne vous propose pas de vidéos, vous pouvez tout trouver sur le site de Rock en Seine en beaucoup mieux 😉 Et il y a également quelques concerts en replay sur Culture Box. A demain…
Rock en Seine, rendez vous de fin d’été 🙂 4 jours pour nous cette année, il y en avait un cinquième en ouverture avec Lana Del Rey mais il n’était pas dans le forfait et puis ça commence à faire vraiment cher, et puis on n’a plus 20 ans ! Mon plus jeune fils y est allé, il a trouvé le concert super, et celui de Pomme également. Une journée avec que des artistes féminines.
Pour ce 1er jour je n’ai pas couru partout, j’ai encore mal aux dents, je sais cela n’en finit pas, je reprends des médocs qui me rendent patraque 😦
J’ai quand même pas mal de choses à vous dire :
On commence par la grande scène, concert d’ouverture : The Last Dinner Party, je ne connaissais pas mais il y a déjà beaucoup de monde pour écouter ces cinq musiciennes anglaises qu font une pop dynamique.
En allant manger un petit quelque chose, même s’il est 17h30, (il faut être en décalage pour ne pas trop faire la queue, on écoute de très loin Dead Poet Society, du rock qui fait du bruit, ça a l’air bien.
On revient à la grande scène avec Kasabian que l’on avait vu ici même en 2015. C’est vraiment bien et il y a eu du changement, le chanteur est parti et c’est Sergio Pizzorno le guitariste fondateur qui reprend le chant et un nouvel album Happenings. C’est de la brit pop rock avec des trucs en plus. J’aime beaucoup.
J’attends The Hives sans bouger. The Hives, on les a vu plusieurs fois et c’est une valeur sûre 😉 5 musiciens suédois, configuration classique d’un groupe de rock avec toute la dynamique du chanteur Pelle Almqvist qui parle de plus en plus en français, pour faire réagir le public et dire tout le bien qu’il pense de son groupe, le meilleur avec beaucoup d’humour 😉 Et toujours leurs costumes qui brillent. Ils ont fait plein de tubes, vous devez connaitre.
Je n’ai pas le courage de traverser tout le parc pour aller voir Gossip que j’aime beaucoup et que j’ai déjà vu plusieurs fois aussi. Une amie me dit qu’il y a du avoir un problème technique et du coup elle n’est pas restée.
Contente de découvrir Måneskin sur scène, oui ce sont les italiens qui ont gagné l’Eurovision en 2021, ils nous proposent du rock engagé, le set est enlevé, dynamique, ils se permettent une pause pour un rappel… Mon fils qui connait toutes les chansons me dit qu’ils ont tout joué ;). C’est chouette.
Une belle première journée rock comme on aime. Le programme pour moi aujourd’hui est obscur, je ne connais aucun groupe ! J’ai très peu dormi, j’ai mal partout ! Pfff c’est moche de vieillir, je sais que je supporte mal les médicaments mais si j’arrête, je vais avoir à nouveau mal aux dents, que choisir ?
J’y retourne pour certainement faire de belles découvertes…
Les jours se suivent à Rock en Seine mais ne se ressemble pas 🙂
Après le super concert des Cure vendredi, la journée très moyenne de samedi, nous avons dimanche retrouvé l’esprit de notre festival.
Pas de grosse affiche mais quelques noms qui nous parlent donc de l’espoir et de la découverte.
Et bingo totale réussite, on a passé une super journée, on n’a même pas pu tout voir, c’était trop bien 🙂
Pour les à côté, déconvenue à l’entrée où ma baguette pour tenir mes cheveux m’a été confisquée ! Mais ensuite apéritif Martini, stand très sympa, du thé, un verre de cidre en bonne compagnie, un diner style poke bowl très bon… Des ami-e-s, un 5ème arbre que l’on remercie (il permet de belles rencontres), et une belle ambiance toute la journée … Je suis ravie 🙂 Merci RES.
De retour après cette troisième journée. Nous ne connaissions pratiquement aucun des groupes proposés et pourtant on n’a quasi pas eu de moments de pause 😉
Le point météo : il faisait meilleur qu’hier malgré les nuages. Et il y avait beaucoup plus de monde, l’indice étant le temps d’attente aux toilettes des filles !
Nous avons bu notre dernier tout petit Martini, on s’est laissé tenter par des tee-shirts (pour les garçons), on a mangé éthiopien encore. Classique 😉
Au niveau musique :
Nous avons commencé avec Ady Suleiman, chanteur et songwriter anglais qui nous emmène avec lui en balade. Parfait pour commencer la journée tranquillement au soleil.
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