Nous sommes allées dimanche dernier avec mon amie Monette voir cette belle exposition aux Franciscaines de Deauville. Le lieu est superbe, riche en expo, livres, culture, jeux, architecture. Je vous encourage à le découvrir… L’expo Zao Wou-Ki se termine ce week-end malheureusement.
J’aime beaucoup le travail de ce grand artiste. On peut voir des toiles, des aquarelles, des stèles (je découvre et j’adore), des céramiques, des encres… Son travail est lumineux, on s’y noie, il me transporte.
Le mieux est de regarder quelques photos, les miennes en dessous et d’autres de meilleures qualités sur le site des Franciscaines.
Expo sur le Japon dans ce lieu insolite qu’est La sucrière sur les quais à Lyon.
C’est une expo tout public sur le Japon dans son ensemble, un peu d’Histoire, de traditions, les différents paysages, les maisons, les religions, la gastronomie, les arts martiaux, arts et arts de la scène, la culture contemporaine, manga, jeux vidéos, musique…
On peut voir des objets, des reconstitution de lieu, des costumes, des scènes de vie… Et il y a beaucoup à lire 😉
C’est intéressant mais un peu trop généraliste et « éducatif ». J’aurai aimé voir plus d’oeuvres d’artistes japonais par exemple. Mais on y apprend plein de choses aussi 😉
Et puis l’entrée est assez chère. J’avais envie de dire que si vous aimez le Japon allez y, mais si vous l’aimez vraiment, vous devez déjà connaitre tout cela… C’est sûrement un bon support pour faire découvrir toute la diversité du Japon à des ados.
River of No Return est une immense toile de 140 mètres de long, c’est la 1ère fois qu’elle est exposée en totalité.
C’est un peu comme un « bd » géante, le début est verdoyant et léger et plus le temps passe, plus c’est noir…
On peut voir également une sélection de tout son travail, broderies, dessins, peintures, sculptures… J’ai bien aimé ses peintures sur pierre.
Ensuite Désordres – Extraits de la collection Antoine de Galbert.
250 oeuvres d’artistes que je ne connaissais pas, tous les styles, plein de surprises.
J’ai aimé Au bout du souffle de Stéphane Thidet. Une verrière aux vitres cassées et les ombres sur les murs… Très beau.
De l’art militant 😉 L’Armée de la Paix de Ingrid Berger et Le 1er mai 2020 de Julien Beneyton
Une définition de l’expo ? de Thibault Scemama de Gialluly.
Pour finir Friends in Love and War – L’Eloge des meilleur.es ennemi.es.
Une collaboration entre le centre d’art Ikon et le mac Lyon, l’exposition présente une sélection d’oeuvres des collections du British Council et du Musée d’Art Contemporain de Lyon autour du thème de l’amitié.
On a vu une vidéo très intéressante mais sinon rien qui ne me parle vraiment.
Un musée que j’aime bien, on y fait toujours de belles découvertes et puis ensuite on peut faire une balade dans le magnifique parc de la Tête d’Or.
Je ne connaissais pas Jean Hélion, j’ai du voir certaines de ses toiles avant mais sans qu’elles ne m’arrêtent.
Jean Hélion, est un peintre et graveur français né le 21 avril 1904 et mort le 27 octobre 1987.
Son itinéraire artistique complexe est passé, cas peu fréquent, de l’art abstrait parfois proche de Piet Mondrian à l’art figuratif. Il a contribué à l’introduction de l’art abstrait aux États-Unis.
J’ai aimé cette rétrospective même si je n’apprécie pas forcément tout son travail, une partie trop figurative pour moi. C’est intéressant de voir l’évolution dans le temps.
Petit coup de coeur pour cette toile de jeunesse : Nature morte au pot, aux 3 bols et à l’allumette (1929)
Dans les années 30, il est en pleine abstraction, dans le même temps de Mondrian et Calder (ils sont amis). Il travaille sur l’orthogonalité, les tensions et l’équilibre.
Puis commence son retour à la figuration. J’ai aimé son petit carnet 😉
L’homme au parapluie et femme à la fenêtre des années 40 et Les Toits de 1960
J’aime bien ses autoportraits
Et pour finir, pour vous montrer un de ses grands triptyques de la fin des années 60 dans lesquels il rassemble les différentes étapes de sa vie.
Une belle expo dans un magnifique musée à voir jusqu’en août 24.
J’ai été invitée à participer à cette expérience virtuelle.
C’est sous le parvis de Notre-Dame dans l’ancien parking réaménagé. Nous sommes très bien accueillis, on nous équipe d’un sac à dos qui ressemble à une ancienne Play Station, puis d’un casque avec grosse lunette… Vous imaginez. La sac est un peu lourd mais le casque se fait oublier. C’est moins confortable avec des lunettes.
Visite donc de Notre-Dame, rappel de l’incendie, puis on remonte au moyen-âge rapidement. Ensuite on nous explique les travaux de sécurisation et de rénovation. On voit les tailleurs de pierre, on marche sous la charpente, on assiste à la pose d’un vitrail, on s’approche de l’orgue. On marche sur les échafaudage et il ne faut pas avoir le vertige. On va également tout en haut des tours, proche des cloches. Et puis la nef, les peintures… Visite complète. C’est impressionnant. Le guide virtuel est très intéressant.
On ne peut pas faire de photo 😉
Il y a des billets à partir de 20 euros, cela dure une heure, c’est chouette. Un spectacle sur les 3 mousquetaires est proposé à La Défense selon le même concept.
Je suis allée visiter ce lieu incroyable la semaine dernière dans l’Aisne près de St Quentin.
Dans les années 1860, Jean-Baptiste André Godin qui a fait fortune en fabriquant des poêles (les fameux Godin) rêve et réalise une cité pour permettre à tout le monde d’être logé décemment.
C’est un peu précurseur des HLM mais en plus universel. Les logements sont spacieux, lumineux, avec pour l’époque un grand confort comme des vides ordures à chaque étage. Dans la « cité » il y a une école, une nurserie, une buanderie, une piscine, des commerces coopératifs, et même un théâtre. Nous sommes en 1880 !
Il y a aussi l’usine de fonderie Godin à côté.
L’idée de ce Palais social est tellement belle. Malgré les guerres et les chocs financiers, elle a tenu jusqu’en 1968. Aujourd’hui il y a encore des appartements occupés mais une grande partie est transformée en musée. La marque Godin a été vendue, l’usine tourne au ralenti et va certainement fermer bientôt.
Dans les jardins il y a un kiosque à musique, reconstruit en 1918 mais qui existait à la création.
Et puis des oeuvres d’art contemporain comme cet arbre « Debout, Toujours » de Stéphane Thidet.
Il y a également un resto cantine où l’accueil est très sympathique. Un lieu idéal pour passer une bonne journée. Plus d’infos sur le site du Familistère de Guise.
Petite expo à la Bibliothèque François Mitterrand qui permet d’entrer dans ce grand bâtiment un peu mystérieux.
L’expo propose plein de souvenirs des années 80 et même si je n’écoute plus trop les groupes de cette période, il n’y a pas une fête sans « Salut à toi…. »
Le rock alternatif mâtiné à la sauce punk c’était vraiment des concerts incroyables. Toute une époque !
Cela fait plaisir de s’y replonger.
Les groupes que j’ai le plus suivis, un peu différent mais … C’est la Mano Negra, et puis Les Négresses vertes… Chouette idée de retrouver ces créations hors système dans un musée…
J’aime bien cette galerie pas très loin de mon bureau, on y fait de chouettes découvertes.
10 artistes que je ne connaissais pas, leur point commun : leurs œuvres explorent les façons de Réenchanter le monde. Vaste programme.
J’ai beaucoup aimé le travail de Olga Grotova, artiste russe qui vit à Londres et Paris. Elle utilise de la terre et des empreinte de plantes en mémoire de ses grands mères.
Le travail de Dorota Gaweda et Eglé Kulbokaité, une installation mirage, cadre en alu et bois, impression numérique sur soie. Au font les suspensions de Bianca Bondi.
Une toile de Teresa Pagowska qui toute sa vie a voulu se libérer de la réalité patriarcale.
Pour terminer ma petite sélection, une oeuvre de Manuel Mathieu, son inspiration vient des horreurs de la dictature haïtienne.
Une belle galerie à découvrir si vous ne connaissez pas 🙂
Découverte du musée Cognacq-Jay dans le Marais à Paris. J’y suis allée pour découvrir, sachant que les oeuvres du XVIIIe, ce n’est pas ce que je préfère 😉
La partie collection permanente du musée se limite à quelques salles, l’expo permanente est en cours de montage donc la visite a été limitée.
On peut voir de nombreux portraits, les femmes ont souvent les joues roses 😉 Cependant certains visages sont assez contemporains. Il y a également du mobilier, des sculptures, des bibelots.
Visite agréable dans une belle demeure bourgeoise.
Nous sommes allées voir une expo sur les cartes postales de vacances… au Musée de la Poste près de la Tour Montparnasse à Paris.
Petite expo, j’ai peut être plus de carte chez moi que ce qui est exposé… Mais les miennes sont moins bien triées et présentées. Il y a les différents types de cartes « souvenirs de vacances » récentes mais aussi l’histoire de la carte postale. Au départ, le prix dépendait du nombre de mots écrits, 15 centimes pour 5 mots, 40 centimes pour plus… Et on écrivait côté image, le verso était destiné uniquement à l’adresse.
L’expo est sympathique, nous étions juste déçues de ne pas croiser nos 2 ami.e.s fétiches 😉
Aux étages supérieurs, on peut visiter le Musée de la Poste, la visite est très agréable. Il y a tout ce qui concerne même de loin La Poste. C’est chouette et ludique 🙂
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