
Un livre inclassable d’une allemande exilée en Angleterre et qui chez son gyneco nous confie ses pensées sans retenue, presque sans respiration.
Elle parle d’elle, de sa vision du monde, de son amant, d’Hitler, des chats, de son psy, de ses projets, du fait de naître femme…
Certains passages sont incroyables, d’autres ennuyeux, il n’y a pas d’histoire, c’est un monologue improvisé…
Je ne suis pas convaincue
C’est son premier livre, en avez vous entendu parler ?
4ème de couverture :
Allongée dans le cabinet du Dr Seligman, jambes écartées, une jeune femme se lance dans un monologue. Elle s’adresse au médecin qui s’affaire entre ses cuisses et lui raconte ses fantasmes, ses obsessions, son histoire familiale – née en Allemagne, elle a fui sa culture et sa langue maternelles pour l’Angleterre. Exilée dans ce pays autant que dans son propre corps, elle a désormais pour compagnons de route M. Shimada (créateur japonais de sex-toys), Jason (son psy à qui elle parle des petits noms qu’elle donne au sexe de Hitler) et K (un homme marié rencontré dans des toilettes publiques). La jeune femme se débarrasse des conventions pour caresser son rêve le plus fou : retrouver sa liberté – et s’offrir un pénis circoncis.
Déjà culte dans de nombreux pays, Jewish Cock est un roman explosif qui a été applaudi par toute la critique à sa sortie. Katharina Volckmer explore la culpabilité allemande, la question du genre, l’asservissement de nos corps et le danger des tabous érigés en barrières morales. Un texte puissant qui annonce la naissance d’une écrivaine majeure.
Tagué:Jewish cock, Katharina Volckmer, monologue

Je ne connais pas. mais je passerai mon tour
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Tu feras bien 😉
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