
Danse de fin d’après midi au Théâtre du Rond-Point avec un ballet de Jean-Claude Gallotta dont j’aime les créations.
5 danseuses, 5 danseurs, des costumes androgynes noirs, j’adore les maillots moins les vestes, une belle musique dynamique, des lumières fondantes.
Une danse contemporaine efficace, presque classique, de très beaux tableaux d’ensemble.
Pénélope est active, elle représente toutes les femmes, elle danse et provoque, n’attend pas « son homme ». Les danseurs l »accompagnent, les accompagnent.
Un vieil homme accompagné en projection nous explique sa quête…
A nouveau, un ballet qui transporte… Quelle chance.
Sur le site du théâtre :
« Plus combative que ne le disent les mythes ! »
Après Ulysse, en 1981, et un long voyage, Jean-Claude Gallotta arrive à Pénélope. Elle n’est plus celle qui attend, impassible et passive, le retour de son homme, rivée à sa mélancolie vertueuse et à sa table d’une interminable tapisserie. Cette Pénélope brûle et danse, vêtue de noir, s’élance en liberté chez Jean-Claude Gallotta. Le chorégraphe a présenté ici sa trilogie autour des mythologies du rock, L’Homme à tête de chou ; My Rock et My Ladies Rock, puis Le Jour se rêve la saison dernière. Dix danseurs s’embrasent dans une vision nouvelle de l’héroïne homérique, s’enflamment dans des pulsions charnelles, des accolements sensuels, ils visitent les affres des amours enténébrées, l’audace des désirs ardents et les joies du retour. Rêve flamboyant de noirceur, Pénélope devient un portrait éclaté de toutes les femmes.
Tagué:contemporain, danse, gallotta, Pénélope, Théâtre Rond Point
sympa
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Oui c’était chouette
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