La semaine dernière je suis allée voir cette expo pour connaitre davantage cet artiste découvert par hasard à la Galerie Thaddaeus Ropac en 2019.
Il a commencé très tôt à présenter ses tableaux « tête en bas », ses oeuvres sont grandes, faites de grands coups de pinceaux, de couleurs que je trouve souvent tristes. Ses sculptures sont très « lacérées ». L’ensemble n’est pas gai, un peu oppressant et on imagine que l’artiste est assez torturé.
Mais en regardant mes photos pour vous montrer, finalement j’aime beaucoup de toiles et de sculptures, j’ai eu du mal à choisir. Son travail est très fort, il parle d’une époque en Allemagne que l’on voudrait voir derrière nous.





Je vous parle de la suite de ma visite demain 😉
Sur le site du musée :
« Baselitz – La rétrospective » est la première exposition exhaustive consacrée à Georg Baselitz, avec la complicité de l’artiste. Quelque six décennies de création sont abordées selon un parcours chronologique qui met en valeur les périodes les plus marquantes du travail de l’artiste né en 1938.
Inclassable, oscillant entre figuration, abstraction et approche conceptuelle, Baselitz dit peindre des images qui n’ont pas encore existé, et exhumer ce qui a été rejeté dans le passé. Intiment liée au vécu et à l’imaginaire de l’artiste, son œuvre puissante révèle son interrogation concernant les possibilités de la représentation de ses souvenirs, des variations des techniques et motifs traditionnels en peinture, des formes esthétiques établies au fil de l’histoire de l’art, ainsi que des formalismes dictés et véhiculés au sein des différents régimes politiques et esthétiques des 20e et 21e siècles, démontrant la complexité d’être artiste peintre dans l’Allemagne d’après-guerre.
Tagué:Baselitz, Centre Pompidou
Un peu particulier …
J’aimeAimé par 1 personne
Je te l’accorde 😉
J’aimeJ’aime