C’est le premier livre de Karine Giebel que j’ai pris à la bibliothèque, son dernier n’étant pas disponible.
J’ai pratiquement tout lu d’elle et ce premier roman est plutôt doux par rapport à ce qu’elle écrira ensuite.
Une jeune femme Jeanne prend tous les jours le même train pour aller et revenir de son travail au commissariat. Elle trouve des lettres d’une auteur secret qui lui avoue des crimes odieux.
En parallèle le commissariat est en effervescence car à la recherche d’un tueur en série sanguinaire…
Jeanne est à la fois séduite par son correspondant épistolaire et par l’inspecteur chargé de l’enquête… Dilemme.
On devine l’écriture des prochains livres, celui ci n’est pas encore totalement maîtrisé mais il se lit quand même agréablement.
Retrouvez les livres de Karine Giebel si vous ne connaissez pas.
Istres-Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien entre son travail de gratte-papier au commissariat et la maison de sa mère. Elle attend néanmoins qu’un événement vienne secouer le fil de son existence : un regard, enfin, du capitaine Esposito ? La résolution, peut-être, de cette affaire de sérial killer qui défraie la chronique phocéenne ?
«Vous êtes si belle, Jeanne. Si touchante et si belle.» Ce soir-là, une lettre, glissée entre deux banquettes, semble combler toutes ses espérances. Un peu trop, même. Car derrière le mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police. Commence alors une correspondance amoureuse qui, pour Jeanne, n’aura de terminus qu’au bout de l’enfer…
Tagué:Karine Giebel, marseille, polar

et bien tu es à fond !
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J’avais pris celui là à la bibliothèque en attendant son nouveau 😉
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