Le livre fait 600 pages mais il se lit rapidement, on a envie de savoir la fin 😉
J’avais beaucoup aimé La vérité sur l’affaire Harry Quebert. L’auteur reprend ici un peu la même formule, l’histoire se passe à 2 époques en même temps. C’est moins surprenant mais je me suis laissée volontiers prendre par cette nouvelle enquête même si certains passages sont peut être superflus et d’autres un peu alambiqués !
Le pitch mais pour ne rien vous dévoiler c’est une journaliste qui reprend une enquête d’il y a 20 ans, elle a trouvé quelque chose de nouveau, elle en parle au flic de l’époque et elle disparaît !
Il y a de nombreux personnages plus ou moins attachants, le décor américain est bien planté, on navigue avec plaisir entre les personnages et les époques. Le suspense est bien mené.
J’ai donc à nouveau bien aimé, je vous conseille ce jeune auteur suisse 😉
L’avez vous lu ? Qu’en pensez vous ?
30 juillet 1994. Orphea, petite station balnéaire tranquille des Hamptons dans l’État de New York, est bouleversée par un effroyable fait divers: le maire de la ville et sa famille sont assassinés chez eux, ainsi qu’une passante, témoin des meurtres.L’enquête, confiée à la police d’État, est menée par un duo de jeunes policiers, Jesse Rosenberg et Derek Scott. Ambitieux et tenaces, ils parviendront à confondre le meurtrier, solides preuves à l’appui, ce qui leur vaudra les louanges de leur hiérarchie et même une décoration.
Mais vingt ans plus tard, au début de l’été 2014, une journaliste du nom de Stephanie Mailer affirme à Jesse qu’il s’est trompé de coupable à l’époque .Avant de disparaître à son tour dans des conditions mystérieuses.
Qu’est-il arrivé à Stephanie Mailer ? Qu’a-t-elle découvert ? Et surtout : que s’est-il vraiment passé le soir du 30 juillet 1994 à Orphea ?
Tagué:Derek Scott, Jesse Rosenberg, Joel Dicker, new york, Orphea, Stephanie Mailer

Les avis son mitigés sur ce dernier titre … beaucoup reproche de lire presque la même histoire. Pour ma part je n’ai jamais lu cet auteur.
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J’ai bien aimé, je ne cherche pas forcément de la grande littérature 😉
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