J’ai aimé tous les livres que j’ai lu de Jeanne Benameur mais celui ci me laisse perplexe.
L’écriture est belle, certaines pages sont de la poésie.
C’est l’histoire d’un enfant dont la mère est partie. Il reste avec son père et sa grand-mère. L’absente est au centre de leurs vies, de leurs pensées.
Mais l’ensemble reste flou, leurs chemins vers l’acceptation ne m’a pas convaincue.
Vous me direz ce que vous en avez pensé si vous le lisez ?
Je ne le conseille pas vraiment, lisez plutôt Profanes ou Les insurrections sungulières.
La 4ème de couv :
Trois trajectoires, trois personnages mis en mouvement par la disparition d’une femme, à la fois énigme et clé.
L’enfant marche dans la forêt, adossé à l’absence de sa mère. Il apprend peu à peu à porter son héritage de mystère et de liberté. Avec un chien pour guide, il découvre des lieux inconnus. A chaque lieu, une expérience nouvelle. Jusqu’à la maison de l’à-pic.
Le père, menuisier du village, délaisse le chemin familier du Café à la maison vide. En quête d’une autre forme d’affranchissement, il cherche à délivrer son corps des rets du désir et de la mémoire.
Et puis il y a la grand-mère, qui fait la tournée des fermes voisines, dont le parcours encercle et embrasse le passé comme les possibles.
Porté par la puissance de l’imaginaire, L’Enfant qui raconte l’invention de soi, et se déploie, sensuel et concret, en osmose avec le paysage et les élans des corps, pour mieux tutoyer l’envol.
Tagué:acte sud, disparition, Jeanne Benameur, L'enfant

Je ne l’ai pas encore lu celui là, mais je pars avec un a -priori favorable, le thème de l’absence me parle
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Je n’ai lu que les profanes et j’avoue ne pas avoir été emballée !
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