En même temps que le dernier Vernon Subutex, mon amie Isa m’a prêtée un des premiers Despentes 😉

Forcément c’est la même écriture, plus « parlé » peut être mais déjà crue et trash.

L’histoire de 2 sœurs jumelles que tout sépare et qui pourtant pourront se confondre. C’est une recherche sur le paraître, la profondeur du soi… dans un monde de fric, de sexe, de drogue…

Comment être soi-même ?

Le livre est un sacré portrait de femme libre, chronique sociale des gens paumés. On retrouve les thèmes récurrents dans les livres de Virginie Despentes sur les inégalités sociales, les discriminations ou les difficultés de vie des femmes.

Intéressant de reprendre ce livre 20 ans après car finalement les choses n’ont pas vraiment changées 😦

L’avez vous lu ? Que préférez vous de Virginie Despentes ?

La 4ème de couv :

Deux sœurs jumelles, deux personnalités opposées : Claudine et Pauline n’ont pas grandi de la même façon et les adultes qu’elles sont devenues n’ont rien pour s’entendre. L’une est rebelle et renfermée, l’autre est une pin-up ambitieuse. L’une a un talent, l’autre les dents longues. Est-il possible de réconcilier deux extrêmes que tout semble séparer ? Virginie Despentes dresse ici le portrait d’une femme écartelée entre deux choix de vie : compromission ou radicalité.
Le roman a reçu le prix de Flore en 1998 et a été porté à l’écran par Gilles Paquet-Brenner en 2001, avec Marion Cotillard et Stomy Bugsy dans les rôles titres.

Virginie Despentes demeure l’unique équivalent d’un Irvine Welsh chez nous. Arnaud Viviant, Les Inrockuptibles.

Il y a une énergie Despentes. Communicative et explosive. Comme si chacun de ses mots était gonflé à la rage. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.

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