Mon Père Noël n’a pas résisté au dernier Djian que j’ai lu d’une traite dès le 25 décembre….
J’ai laissé un peu de temps avant d’écrire ces lignes, j’étais plongée dans mes recap mais pas que !
J’aime Djian, son écriture, sa désinvolture, son style mais faut il pour autant délaisser l’histoire ? Je n’ai pas réussi à aimer Denis, écrivain le jour, chanteuse la nuit… ni même à lui trouver des circonstances atténuantes quand il se met dans des situations délicates, j’ai même pensé « quel con ! »
Et puis à peine 200 pages, lues en quelques heures… Dis Monsieur Djian, tu ne pourrais pas en faire un peu plus long ?
Mais je continuerai de lire Djian car ce sont malgré tout de bons moments de lectures.
J’aime beaucoup la couverture 😉
Qu’en pensez vous ? Fan ou non ?
Denis a la quarantaine. Le jour, il mène la vie ralentie d’écrivain sans succès et de critique fauché. Le soir, il s’habille en femme et va danser dans un cabaret. Quand ses beaux-parents viennent s’installer au-dessus de chez lui, plus question de se la couler douce. Paul, son beau-père, un mafieux notoire, pas franchement adepte du travestissement, lui a trouvé un emploi qui devrait l’endurcir. Chaque semaine, assorti d’un certain Robert, l’écrivain devra réclamer de façon musclée leurs impayés aux débiteurs de son beau-père. Contre toute attente, le job lui convient bien et Robert lui inspire le sujet d’un livre, qui pour la première fois fait un tabac en librairie… Mais voilà que quelque temps après, Paul est victime d’une tentative d’assassinat. Qui a voulu tuer Paul ? Denis, Robert, Hannah, sa fille, ou Veronica son épouse ? Tous avaient un sérieux mobile de s’en débarrasser. Un accident de voiture battra une ultime fois les cartes de ce roman dans lequel s’entrecroisent, se superposent, avant d’entrer en collision frontale, des mondes généralement étanches. Celui de l’écriture, celui de la mafia et celui de la nuit rêvée et fantasmée des drag-queens.

Pas encore lu mais j’ai « HO ! » dans ma pal … oui ils sont pas mal à nous faire un peu court ! (je pense à Nothomb en particulier… mais aussi à Jean Christophe Rufin)
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J’ai bien aimé Oh 😉
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J’ai lu un ou deux romans de lui, puis j’ai abandonné.
Pas certaine de m’y relancer…
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Je comprends …
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Je l’ai terminé hier soir, très vite lu comme tous ses derniers romans. C’est vrai que Denis est con, enfin il est surtout l’image même de l’égocentrique extrême, et pour en connaître quelques uns je trouve que le portrait est plutôt bien réussi. Mais j’admets qu’il est difficile de le trouver sympathique par contre les personnages secondaires comme Robert ou Paul m’ont fait sourire. Bref c’est loin d’être un grand (court) roman mais je ne me suis pas ennuyé.
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Tu connais des gars aussi cons ? 😉 On n’a pas le temps de s’ennuyer de toute façon !
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