Danse ce soir à la MAC de Créteil dans le cadre du festival d’automne autour de William Forsythe.
Nous avons donc vu Limb’s Theorem interprété par le ballet de l’Opéra de Lyon.
3 ballets en fait pour cette soirée avec en point commun une musique assez particulière et une lumière toute en ombre.
Les danseurs et danseuses, très nombreux sont parfaits au niveau technique. Tout est millimétré et il n’y a aucun défaut mais l’ensemble manque de don de soi, de sentiment ou de fantaisie si bien que je n’ai pas tout apprécié. Ou alors c’est la manque de lumière qui m’a gênée. Cependant je ne me suis pas ennuyée et c’est même passé assez vite ! Je ne suis juste pas vraiment conquise.
Nous allons mardi à Chaillot voir un autre programme du festival, j’espère être plus touchée.
William Forsythe « le plus européen des américains » est l’un des chorégraphes de référence aujourd’hui, l’un de ceux qui a écrit, à travers ses pièces, l’histoire de la danse contemporaine.
En participant à ce « portrait de William Forsythe », la Maison des Arts avec le Festival d’Automne à Paris revient sur le parcours d’un artiste génial. Connu pour ses projets expérimentaux en collaboration avec des plasticiens, il s’est toujours attaché à repousser les limites du ballet et de ses conventions. Il trouble autant qu’il fascine par la force de ses pièces et le talent d’illusionniste qui est le sien : jeu d’apparences et de disparitions au service d’une instabilité qui captive.
Sur pointes acérées ou en chaussettes, les danseurs surgissent de la nuit, tels des âmes errantes sortant des limbes, pour affronter en trois «rounds» un monde d’obstacles menaçants (…). Ils tentent de se battre et de s’affirmer dans un environnement gigantesque «hostile».
Le mouvement devient alors refuge, pour échapper au danger : ils bougent hors des ombres projetées, dans une lumière qui divise la scène, diminue ou agrandit les figures, surexpose les danseurs de façon aveuglante, ou les plonge dans l’obscurité. Les mouvements en deviennent presque irréels, les corps «s’évanouissent».
Cette pièce pour 27 danseurs créée par le Ballett Frankfurt en 1990, est entrée au répertoire du Ballet de l’Opéra de Lyon en septembre 2005. Aujourd’hui le Ballet de l’Opéra de Lyon reflète la danse en mouvance dans le monde.
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Je n’aime pas quand les danseurs ou musiciens ne prennent pas de plaisir ça se sent tout de suite !
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C’est vraiment dommage … (pour les danseurs)
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[…] 339 : Dans le cadre du Postcrossing, j’ai reçu cette superbe carte royale ! J’adore. Soirée danse au […]
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