Concert hier soir à l’auditorium de la Fondation Louis Vuitton. Concert mythique puisque Kraftwerk ne joue que rarement en France. Et puis quel lieu !
La salle a une forme un peu spéciale et toute une partie est vitrée ce qui permet de voir dehors mais le son n’en souffre pas.
Ralf Hütter, membre fondateur de Kraftwerk est accompagné de 3 musiciens et ils nous proposent un large éventail de leur tube en plus de l’album Techno Pop que nous avions choisi.
Chaque soirée, un album complet est joué.
Les vidéos sont en 3D, on nous a donné des lunettes à l’entrée ! C’est moins innovant qu’il y a 30 ans mais les morceaux n’ont pas pris une ride !
Le show est complet, s’enchaînent les tubes : Autobahn, Radioactivity, The robots, The Man-Machine, Computer Love, Tour de France… et Boing Boom Tschak, Techno Pop et Musik non stop en final.
J’ai vraiment beaucoup aimé, leur musique est à la fois planante, envoûtante, et rythmée. Les vidéos, effet 3D et jeux de lumière sont top. Ils jouent 2 heures sans discontinuer. Un truc qui m’a interpellée, il y avait une forte majorité d’hommes dans la salle ! Pourquoi ? 😉
Trop tard pour cette série de concert, mais je vous encourage à écouter leur musique 😉
J’ai choisi cette photo de la soucoupe qui se pose au jardin d’acclimatation ! Clin d’oeil 😉
À la croisée de la musique, du graphisme, de la vidéo et de la performance, Kraftwerk, fondé en 1970 par Ralf Hütter et Florian Schneider, émerge sur la scène artistique de Düsseldorf (Allemagne) et marque le paysage musical de son influence sur des styles aussi différents que l’électro et le hip hop en passant par la pop et la techno. Habité par l’univers industriel et la modernité technologique, les compositions minimalistes de Kraftwerk sont élaborées et programmées par ordinateur à partir d’instruments électroniques et de voix robotiques.
En janvier 2014, Ralf Hütter et son ancien partenaire ont été honorés par le Grammy Lifetime Achievement Award
Après son passage au MoMA (New York) en 2012, à la Tate Modern (Londres) en 2013, au Kunstmuseum (Düsseldorf) en 2014, Kraftwerk présente dans l’auditorium de la Fondation pour huit soirées consécutives, l’intégralité de son oeuvre. LE CATALOGUE 12345678, synchronisé avec une spectaculaire projection d’images 3D. 1 AUTOBAHN (1974), 2 RADIO-ACTIVITY (1975), 3 TRANS EUROPE EXPRESS (1977 ), 4 THE MAN-MACHINE (1978), 5 COMPUTERWORLD (1981), 6 TECHNO POP (1986), 7 THE MIX (1991), 8 TOUR DE FRANCE (2003). A chaque concert s’ajoutent des compositions extraites de leurs autres albums.
Apparaissant en automates impassibles sur fond d’images de synthèse à la fois pop et acides, générant une tonalité dynamique et des rythmes mécaniques qui détonnent sur le plan audiovisuel, Kraftwerk se fait l’écho des contradictions de la vie moderne de « l’homme machine“.
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Tagué:Florian Schneider, Fondation Vuitton, Kraftwerk, Ralf Hütter, Techno Pop
MHF le blog 
Un beau souvenir …
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Oui mythique 😉
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Voilà un concert qui devait être sacrément bien!!!
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Exceptionnel…
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[…] 12 # Jour 316 : Concert de Kraftwerk à la Fondation Louis Vuitton […]
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Qu’est ce que c’était biiieen !!!
En plus de la majorité masculine, je rajoute que la moyenne d’age était 40 et +++++ ! 😉
Il y avait des jeunes également, étonnés d’entendre et de comprendre que cette musique a plus de 35 ans pour certains des morceaux comme ‘Autobahn’ !
Spectacle magique !
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Quelle belle soirée….
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Super moment! J’ai même pu croiser l’artiste français surnommé le « Kraftwerk solitaire français ». Voici, d’ailleurs, son dernier projet : http://marboss.zimbalam.com/
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[…] pas vraiment. Il fallait y être… Je suis à nouveau conquise (après l’excellent concert aussi de la FDV). C’était envoutant et leur message reste toujours aussi fort. La prouesse technique est […]
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