C'est un petit livre qui se lit facilement mais nous pousse à réfléchir.
Une amie de FB me l'a conseillé un soir où je n'étais pas en grande forme.
C'est une réflexion sur la "normalité" entre l'auteur et Socrate, un dialogue enrichissant sur la richesse de nos vies.
Ce livre est porteur d'espoir et témoigne d'une belle expérience de vie. Que veut dire "être différent" ?
Cependant si on est heureux pour la belle destinée de l'auteur, le livre n'apporte pas de solution concrète. Il n'en est pas moins intéressant mais même s'il nous amène à nous interroger, cela reste un livre de témoignage.
C'est une approche facile de la philosophie et une belle leçon d'humanisme.
Livre à conseiller aux plus jeunes également.
Eloge de la faiblesse retrace un itinéraire intérieur, une sorte de
conversion à la philosophie. L'auteur, handicapé de naissance, imagine
recevoir la visite de Socrate en personne. Dès lors, s'en suit un
échange où de proche en proche émergent des outils pour apprendre à
progresser dans la joie, garder le cap au coeur des tourments et ne pas
se laisser déterminer par le regard de l'autre. La philosophie est ici
un art de vivre, un moyen d'abandonner les préjugés pour partir à la
découverte de soi et bâtir sa singularité. Peu à peu, une conversion
s'opère, le faible, la vulnérabilité, l'épreuve peuvent devenir des
lieux fertiles de liberté et de joie.
Tagué:Jollien, livre, normalité, philosophie, témoignage, vie

Si c’est bien de moi dont tu parles c’était « petit traité de l’abandon » que je t’avais conseillé. du coup je vais lire celui là aussi.
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Je l’ai entendu parlé mais n’ai pas lu ce livre…
Mais oui, pourquoi pas?
Merci du conseil
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Tu m’avais donné le titre ? C’est bizarre que j’en ai pris un autre … Je ne me souviens plus…
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C’est un peu particulier mais intéressant 🙂
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Oui je t’avais donné le titre 😉 (la nana qui réponds un an plus tard) j’ai lu l’éloge de la faiblesse, mais j’ai préféré le petit traité de l’abandon mais s’il est un peu plus difficile à lire. Mes deux frères l’ont également lu, c’est souvent qu’on y fait allusion (au petit traité).
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