J'ai fini ce livre depuis un moment mais pas le temps d'écrire ma note surtout car je suis déçue. J'avais beaucoup aimé Chaos calme du même auteur et là et bien je n'ai pas réussi à entrer dedans.
Sentiment d'incompréhension, les personnages ne m'ont pas accrochés, ni le père Spartacus, ni les enfants perdus… Je serais même incapable de vous résumer l'intrigue.
Isa je te le prêterai si tu veux ?
Je laisse la place à l'éditeur :
Italie, années 60. Deux mondes
différents mais parallèles se font face. D’une part le Chantier,
quartier des bas-fonds planté sur un sordide lopin de terre, où les
habitants, des laissés pour compte, survivent tant bien que mal en marge
du boum économique. C’est dans ce quartier miteux que Salvatore, enfant
des rues échappé de l’orphelinat, trouvera refuge et fera la
connaissance du vieil Omero, qui lui ouvre sa porte, de Rase-Mèche qui, à
la mort du vieil homme, l’initie à ses activités et de Pampa, autre
gamin des rues, solitaire et sauvage. De l’autre côté du chemin : les
enfants trouvés de l’orphelinat, placé sous l’autorité du Père
Spartacus, ancien missionnaire intégriste qui souhaite ériger, à la
gloire de la Sainte Vierge, un sanctuaire fait d’engrenages et de néons,
grâce au magot d’un petit malfrat repenti… Entre ces deux mondes, peu
de mots. Peu d’échanges. Rien. D’un côté, le progrès, la modernité
bourgeoise. De l’autre, les enfants des rues, les laissés pour compte,
les victimes. Un roman très beau et d’une grande délicatesse qui ne
décevra pas les nombreux lecteurs de Chaos calme.
différents mais parallèles se font face. D’une part le Chantier,
quartier des bas-fonds planté sur un sordide lopin de terre, où les
habitants, des laissés pour compte, survivent tant bien que mal en marge
du boum économique. C’est dans ce quartier miteux que Salvatore, enfant
des rues échappé de l’orphelinat, trouvera refuge et fera la
connaissance du vieil Omero, qui lui ouvre sa porte, de Rase-Mèche qui, à
la mort du vieil homme, l’initie à ses activités et de Pampa, autre
gamin des rues, solitaire et sauvage. De l’autre côté du chemin : les
enfants trouvés de l’orphelinat, placé sous l’autorité du Père
Spartacus, ancien missionnaire intégriste qui souhaite ériger, à la
gloire de la Sainte Vierge, un sanctuaire fait d’engrenages et de néons,
grâce au magot d’un petit malfrat repenti… Entre ces deux mondes, peu
de mots. Peu d’échanges. Rien. D’un côté, le progrès, la modernité
bourgeoise. De l’autre, les enfants des rues, les laissés pour compte,
les victimes. Un roman très beau et d’une grande délicatesse qui ne
décevra pas les nombreux lecteurs de Chaos calme.
Tagué:chaos calme, italie, livre, terrain vague, Veronesi

Arf, je veux bien ! J’ai un bouquin à te prêter aussi, il est un peu autocentré et déprimant… mais on y cite APPLAUSE !
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C’est Les lisières ? Bises
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Moi je lis le Cimetière de Prague d’Umberto Eco et je me régale…
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Je l’ai lu aussi mais j’ai eu un peu de mal…
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Je lis Deux cavaliers de l’orage de Jean Giono. Trop de lecture en retard…
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Je connais Giono mais pas ce livre
Ravie de te croiser ici même si je te suis de loin sur FB
Bises
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