Le malade imaginaire revu et corrigé par le metteur en scène Akli Hallaf avec pratiquement que des jeunes filles (et un garçon).

Les extraits de texte sont parfait, les adaptations sont très bien trouvées. Les rôles sont bien tenus et tout le monde donne de l’énergie et de la joie d'être sur scène.

Un très bon moment, original, enlevé. Un joli final que Molière aurait certainement approuvé.

Bravo.

Le pitch : L'intrigue de la pièce se situe autour du personnage d'Argan, le malade imaginaire. Veuf, celui-ci se remarie avec Béline qui simule des soins attentifs mais en réalité n'attend que sa mort pour pouvoir hériter. Il se fait prescrire toutes sortes de remèdes, dispensés par des médecins pédants et soucieux davantage de leur porte-monnaie que de la santé de leur patients…

Prochain spectacle vendredi soir avec JL : Cherche à joindre dirigé par Claudie Guillot

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