Danse au théâtre des Abbesses ce soir pour notre retour à Paris.
Une première au théâtre de la Ville pour la compagnie L'expérience Harmaat.
Nous sommes sorti circonspects. De l'avis général (enfin de nous 4 mais il n'y a eu que peu d'enthousiasme dans les applaudissements) on va dire "peut mieux faire"
Dommage il y a des idées à developper mais ce soir ce n'était pas le cas.
Jeu de contrastes :
Tableau d’insaisissables présences conjuguant la multitude et l’unicité, paysage fluctuant de corps jouant au chat et à la souris entre ombre et lumière, architecture mouvante de perceptions dont le flux épouse un assemblage d’énergies, d’accumulations et de déflagrations… Fabrice Lambert parle de Solaire comme d’un « jeu de contrastes », dont la dynamique traverse les strates d’une mémoire organique et cellulaire afin de faire vibrer un présent tissé de résonances. À coup sûr, la danse est un voyage spatio-temporel dont le chorégraphe explore depuis plus de dix ans les charnelles virtualités, avec les danseurs, plasticiens et vidéastes dont il s’entoure au sein de sa compagnie, L’Expérience Harmaat. Un travail spécifique et particulièrement original sur la lumière, mené en complicité avec l’éclairagiste Philippe Gladieux, irise le plateau de Solaire. Un dispositif technologique entièrement nouveau, conçu à la palette graphique, permet de transformer l’espace en temps réel, au gré de nappes lumineuses venant non plus « éclairer la danse », mais la prolongeant dans ses élans kinesthésiques, en intensités interactives.

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