Dans la série mes lectures de l'été, celui là m'a beaucoup plu, il m'a également été offert par mes amies Maries 😉
Je ne vous dévoile pas l'histoire mais c'est une femme qui raconte sa vie et celle de 3 générations de femmes à travers des photographies.
L'idée est originale, les souvenirs que l'on a en regardant des photos, c'est toute notre vie qui défile.
Et puis de nombreux sujets sont abordés, les relations mère-fille, l'amour maternel ou pas, l'homosexualité, la violence….
C'est un beau roman triste mais très attachant.
Présentation de l'éditeur
confession enregistrée, adressée à la mystérieuse Imogen. S'appuyant sur
vingt photos soigneusement choisies, elle laisse libre cours à ses
souvenirs et raconte, des années quarante à aujourd'hui, l'histoire de
trois générations de femmes, liées par le désir, l'enfance perdue et
quelques lieux magiques. Et de son récit douloureux et intense naît une
question, lancinante : y a-t-il une logique qui préside à ces
existences? Tout Jonathan Coe est là : la virtuosité de la construction,
le don d'inscrire l'intime dans l'Histoire, l'obsession des
coïncidences qui font osciller nos vies entre hasard et destin. Et s'il
délaisse cette fois le masque de la comédie, il nous offre du même coup
son roman le plus grave et le plus poignant.
Biographie de l'auteur
Né en 1961 à Birmingham, Jonathan Coe est l'un des auteurs majeurs de
la littérature britannique actuelle. On lui doit notamment Testament à
l'anglaise, prix du Meilleur Livre étranger 1996, La maison du sommeil,
prix Médicis étranger 1998, et le diptyque que forment Bienvenue au club
et Le Cercle fermé.
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Tagué:Jonathan Coe, livre, voyage
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