Ballet présenté à l'Opéra National de Paris Bastille.

Que dire : tout est parfait.

Les danseurs sont magnifiques, les costumes originaux et superbes.

Les décors sont  puissants et fortement inventif, une énorme boule oscille en crachant de la fumée, un chassis de camion descend du ciel, une maison magnifiquement éclairée survole la scène .

La musique est contemporaine, novatrice et l'orchestre est excellent menée par une chef. 

L'histoire est classique et pas forcément explicite dans certains tableaux.

Cependant je ne peux pas dire que j'ai été transportée. Certaines scènes sont superbes d'autres plutôt ennuyeuses.

Je ne saurai dire ce qu'il manque au milieu de toute cette sensualité, cette force, cette beauté mais je n'ai pas trouvé l'émotion que j'espérais.

Allez-y pour vous faire votre propre idée car ce spectacle est une belle fresque poétique.

Présentation : Le chorégraphe Angelin Preljocaj s’inspire du thème fondateur de
Siddharta pour la nouvelle création qu’il offre au Ballet de l’Opéra. Il
revisite l’histoire de celui qui deviendra l’Éveillé, ou Bouddha, pour
en donner une lecture personnelle explorant les thèmes du dépassement,
de l’épreuve et du sacrifice dans la quête d’un absolu. Au-delà du
simple récit, il dévoile les tourments et les mystères de ce long voyage
intérieur, semé d’embûches, d’incertitudes et de doutes. Preljocaj a
pour compagnons de route deux artistes aux fortes personnalités, Bruno
Mantovani, jeune et brillant compositeur français, qui signe sa première
oeuvre pour l’Opéra de Paris, ainsi que le plasticien et scénographe
Claude Lévêque, puissant rêveur d’espaces de notre temps.

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