Théâtre ce soir au centre culturel d'Orly dans le cadre de la semaine des nouvelles écritures théâtrales.
Une pièce de Hanokh Levin, mise en scène par Alain Batis avec Raphaël Almosni, Jean-Yves Duparc,
Emmanuelle Rozès et au Violoncelle Louise Chirinian, à la Clarinette Alain Karpati, au Piano Marc-Henri Lamande.
C'est une fausse comédie en partie chantée et les artistes ont une énergie contagieuse.
Le sens de la vie ? Grande question encore (après A serious man)
La réponse n'est pas forcément plus claire !
Un autre spectacle "La fin d'une liaison" est proposé vendredi soir.
Compagnie La Mandarine blanche
Que faire pour donner un sens à sa vie ? Le grand auteur israélien, Hanokh Levin,
souligne la complexité de la chose en donnant vie à des êtres lancés dans la quête
du bonheur, mais minés par les illusions qui cessent de bercer, les humiliations
qui dégradent, les désirs qui s’étiolent et les rêves qui déçoivent. Que raconte
cette comédie frénétique en trente tableaux et douze chansons ? Yaacobi décide
de rompre avec son meilleur ami, Leidental, il veut vivre pour lui seul et « le ratatiner ».
Il rencontre Ruth qui a des atouts merveilleux pour le séduire. Il l’épouse, et Leidental
s’offre lui-même en cadeau de mariage. Une situation extravagante, où les promesses
de bonheur s’enlisent dans la torpeur du quotidien, où l’hystérie des uns ou des autres,
éminemment théâtrale, dévoile un mal-être angoissant et drôle. Servi par des musiciens
et des comédiens-chanteurs virevoltants, ce véritable spectacle de théâtre populaire
allie le mime, le guignol, le vaudeville et le burlesque sans pour autant amoindrir
la profondeur décapante du propos.
Tagué:Hanokh Levin, orly, theatre, yaacobi et leidental

Tu as trouvé çà comment Marie ?? çà passe ce dimanche à Fresnes et je me « tate »..
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