J’ai lu l’avant dernier Modiano la semaine dernière. Heureuse coïncidence puis qu’il a reçu jeudi le Prix Noble de Littérature.
Je suis une inconditionnelle de Modiano, j’aime son art d’écrire des livres où « il ne se passe rien ». Attention c’est un vrai compliment car l’écriture est belle et pointue, chaque mot a sa place, le temps s’arrête, on se promène dans la ville et dans le monde du souvenir.
L’herbe des nuits se passe à Paris aujourd’hui et avant, retour sur un passé oublié dont on retrouve des bribes dans un carnet noir plein de notes. Il crée un univers particulier qu’on n’a pas envie de quitter…
Si vous découvrez Modiano, ne commencez peut être pas par celui-là. L’idéal serait de les lire dans l’ordre 😉 Tout le plaisir est dans la lecture et l’oubli du temps qui passe.
Je participe avec cette lecture au défi de Virginie B que vous pouvez retrouver cette semaine ici.

























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