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#365defiphoto – Saison 5 – Semaine #40

Semaine 40, pfff le temps passe trop vite.

Semaine speed mais pas trop de sorties culturelles, pas mal de travail et quelques moments improbables bien agréables.

En image :

Dimanche 7 # Jour 280 : Journée tranquille à la maison avec Laurence, Margot, JL et les garçons…

Lundi 8 # Jour 281 : Essai de tarte potimarron-patate douce, pas mauvais mais à améliorer quand même.

Mardi 9 # Jour 282 : Grande journée, gare à l’aube, petit dej somptueux, manif et atelier…

Mercredi 10 # Jour 283 : Châtaignes d’Ardèche trop bonnes

Jeudi 11 # Jour 284 : Pas vu mais j’ai fait taxi pour les garçons 😉

Vendredi 12 # Jour 285 : Formation à la campagne, il fait encore beau…

Samedi 13 # Jour 286 : Ciné de l’après-midi sinon journée intendance à la maison et lecture.

Une semaine avec un peu de manque de sommeil mais rien de grave. Aujourd’hui visite chez ma mère, plusieurs sorties spectacles prévues pour la semaine à venir et week-end à Lyon. Chouette 🙂

Je vous souhaite un bon dimanche.

Girl de Lukas Dhont

Ciné d’après-midi pour sortir un peu des matchs rugby/hand de la télé 😉

Girl c’est l’histoire de Lara, une jeune fille née dans un corps masculin.

A 15 ans devenir une fille, ce n’est pas simple et devenir danseuse classique l’est encore moins.

Victor Polster est impressionnant dans le rôle, tant dans la danse, dans la dureté de ce qu’il s’impose physiquement, dans la finesse des expressions, la retenue de son mal-être.

Son père, Arieh Worthalter est magniifique également, il accompagne sa fille avec des tonnes d’amour.

L’école de danse est telle qu’on imagine une école de danse de haut niveau. Sa prof principale reste bienveillante. Les scènes de danse sont très belles.

Les équipes médicales l’entourent, expliquent, la conseillent mais Lara est trop impatiente. Elle veut tout bousculer, ressembler à ce qu’elle ressent. Et pour le moment ces relations avec ses copines ou avec les garçons sont forcément complexes pour elle.

Le film traite vraiment bien et sans voyeurisme toute la complexité de son mal-être dans ce corps qu’elle n’accepte pas.

Vous me direz ce que vous en avez pensé si vous le voyez.

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