Archives de Tag: Céleste Brunnquell

La fille de son père de Erwan Le Duc

Cinéma 2 janvier 2024 Commentaires : 2

Dernier film vu en 2023, j’étais plongée dans mes bilans mais je rattrape tranquillement mes articles en retard.

Un père élève seul sa fille, tout va bien. Mais Rosa grandit, elle va partir en fac, un peu loin et Etienne doit réinventer sa vie. Et ce n’est pas facile. Ils forment un duo qui depuis 17 ans vit l’un pour l’autre. On ne sait pas pourquoi la mère est partie.

Etienne interprété par Nahuel Perez Biscayart et Rosa par Céleste Brunnquell sont vraiment formidables. Maud Wyler joue l’amie d’Etienne et est chouette aussi.

Le film est touchant et drôle à la fois. Etienne fait tout pour sa fille, ils se mettent dans des situations rocambolesques. Le film est léger, pétillant dans son ensemble et c’est bien agréable en cette période de fête.

Sans vous dévoiler les 20 dernières minutes, l’ami avec qui j’ai vu le film ne les a pas aimées, le film bascule mais pour moi c’est un fin assez « logique »…

Avez vous vu ce film ? Qu’en pensez vous ?

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Fifi de Jeanne Aslan et Paul Saintillan

Cinéma 23 juin 2023 Commentaires : 7

Un joli film sur une jeune fille adolescente, Fifi, qui découvre les sentiments.

Fifi vit dans une cité de Nancy au sein d’une famille disons précaire. Sa mère et son beau-père ne semblent pas travailler, sa grande soeur à un bébé et rêve de partir, son autre soeur sort beaucoup, son petit frère est hyperactif, sa petite soeur regarde tout cela avec de grands yeux…

Fifi trouve un peu de calme dans la maison d’une copine en ville, elle a pris les clés juste avant leur départ en vacances. Mais elle ne savait pas que le grand frère serait là…

Pas facile finalement de vous donner le ton du film. Fifi, 15 ans, qui ne part pas en vacances, rêve d’autres choses….

Céleste Brunnquell, que l’on a vu dans En Thérapie, est très bien dans ce rôle de jeune fille débrouillarde qui découvre ses premiers sentiments. Quentin Dolmaire, vu dans la série OVNI, jour parfaitement le grand frère déjà désabusé.

Un beau film, un peu comme un conte, qui peut faire penser au cinéma de Rohmer, pour un bon moment de cinéma poétique et sensible.

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