
C’est la deuxième fois que je vais à la Bourse du commerce, le lieu est vraiment très beau. L’alliance de l’ancien bâtiment et le « neuf » sublime le tout.
L’expo sur l’art minimal est de plus tout à fait adaptée au lieu, elle est structurée par salle en Lumière, Mono-ha, Equilibre, Grille, Monochrome et Matérialisme. A l’étage, en rond on peut faire le tour plusieurs fois, pour plus de découvertes simples…



Des oeuvres de Lee Ufan (que j’ai découvert à Tokyo mais qui est coréen), Mary Heilmann, François Morellet. C’est simple mais pour moi hypnotisant.


Susumu Koshimizu, des tétraèdres en bronze, ce sont les mêmes mais disposés sur des faces différentes, ils ne se ressemblent pas 😉 Au font Koji Enokura et la petite souris de Ryan Gander qui est animée et essaie de parler.



Le très beau bâtiment et une oeuvre de Giuseppe Penone devant.
C’est jusqu’au 19 janvier…
Je sais c’est la collection Pinault, galère de lui donner des sous pour visiter mais bon c’est la possibilité de voir de grandes oeuvres aussi…
Sur le site de la Bourse du Commerce :
La Bourse de Commerce accueille une exposition d’envergure dédiée à l’art minimal qui dévoile plus d’une centaine d’œuvres majeures illustrant la diversité de ce mouvement depuis les années 1960 où toute une génération d’artistes a initié une approche radicale de l’art. Aux côtés des chefs-d’œuvre de la Collection Pinault, des prêts de collections prestigieuses soulignent l’importance historique et la résonance internationale des thèmes qui sont abordés.
L’exposition « Minimal » explore l’évolution globale et internationale de ce mouvement qui, depuis le début des années 1960, a radicalement reconsidéré le statut de l’œuvre d’art.
Caractérisée par une économie de moyens, une esthétique épurée et une reconsidération de l’emplacement de l’œuvre par rapport au spectateur, toute une génération d’artistes, dans le monde entier, initie cette approche invitant à l’interaction corporelle. Ainsi naît le «minimal», cette forme d’art qui cherchait à s’adresser directement au spectateur par la présentation de matériaux et de formes universelles, sans passer par l’imitation, le symbole ou la narration. Ces artistes s’emparent alors de matériaux naturels ou artificiels—souvent les plus simples et les plus disponibles—pour créer des situations où le corps du visiteur est directement sollicité, attirant également l’attention sur le lieu même de l’exposition. L’œuvre ne se situe plus tant au niveau de son contenu que dans l’expérience réelle qu’elle propose.
À travers sept sections thématiques—Lumière, Mono-ha, Équilibre, Surface, Grille, Monochrome, Matérialisme—, l’exposition « Minimal » retrace la diversité de ce mouvement, en explorant ses dimensions nord-américaines (Agnes Martin, Dan Flavin, Robert Ryman…), sud-américaines (Lygia Pape), asiatiques (Lee Ufan, Nobuo Sekine, Kishio Suga…), moyen-orientales (Rasheed Araeen) et européennes (Gunther Uecker, François Morellet…), à partir d’un ensemble d’œuvres exceptionnel issues de la Collection Pinault, et des prêts de la Dia Art Foundation ainsi que d’autres collections privées et publiques.
Tagué:art minimal, Bourse de commerce, François Morellet, Giuseppe Penone, Koji Enokura, Lee Ufan, Mary Heilmann, Ryan Gander, Susumu Koshimizu

Un lieu exceptionnel et une exposition qui m’intéresse bcp ! 🙏
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Oui le lieu est superbement bien refait et l’expo est riche de diversité.
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La petite souris de la bourse du Commerce ! Un must ! Plus d’une personne passe sans la voir…c’est rigolo d’observer les réactions des gens qui la rencontrent !
Merci pour ce retour d’expo, je vais y aller 🙏🏻
Bonne semaine!
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Tu nous raconteras … 🙂
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