
Reprise de la saison au Théâtre de la ville avec la nouvelle création du chorégraphe Akram Khan. Manal AlDowayan l’accompagne pour la conception visuelle, costumes et scénographie.
Il n’y a que des danseuses sur scène. On est en Inde et on assiste à une cérémonie, des rituels d’une tribu, elles invoquent les esprits… J’ai eu du mal avec le côté narratif, pas facile de comprendre et du coup j’étais moins emportée par la danse.
Les ensembles dansés sont superbes, quand elles jouent avec leurs cheveux longs, c’est magnifiques. Les solos sont très beaux aussi. En fait la danse est belle mais « l’histoire » est restée nébuleuse pour moi. La musique orientale m’a beaucoup plu également. les costumes sont beaux, le décor moins.
Mes ami.e.s avec moi ont aimé sans être émerveillé.e.s.
Déjà hâte du prochain ballet… Vous avez prévu d’aller voir de la danse contemporaine cette saison ?
Sur le site du Théâtre de la Ville :
Un dialogue avec les mythes de l’humanité à la croisée des époques et des cultures.
Dans Thikra – « Nuit de la souvenance » – quatorze danseuses engagent un dialogue profond entre la danse occidentale et la tradition indienne du Bharata Natyam. Mais cette nouvelle création d’Akram Khan, née en version in situ près de la ville historique d’AlUla en Arabie Saoudite, se nourrit tout autant des impressions émergeant du désert que des sites culturels millénaires de la région de Médina, reliée à l’Inde depuis l’antiquité par une importante route commerciale. Pour réinventer ces échanges, Akram Khan et l’artiste contemporaine saoudienne Manal AlDowayan ont exploré une multitude de pratiques féminines, dans la vie courante comme dans un espace sacré. Thikra est aussi un hommage à nos ancêtres qui s’ancre dans le présent, à l’instar des costumes enchanteurs, créés sous la direction de la plasticienne AlDowayan.
Thomas Hahn
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