
Un livre qui m’a été offert par mon amie Coco, merci ❤
On découvre la Chine et surtout le Japon de la première moitié du XXème siècle à travers le journal et les lettres de Mary Mackenzie, une écossaise qui est parti là-bas pour se marier avec un militaire britannique. C’est Mary qui raconte sa vie durant tout le livre et c’est assez fort que cela soit écrit par un homme. L’auteur est né au Japon et y a passé son enfance, il y est revenu pendant la seconde guerre mondiale.
Pas simple pour une femme européenne de vivre en Asie à cette époque là avec les deux guerres et les grandes différences de culture.
On suit pendant 40 ans la vie de cette femme qui se libère de son éducation et essaie de se faire une place dans une société si différente de tout ce qu’on lui a appris. Elle est très courageuse et sa vie sera souvent bouleversée, voir bouleversante.
On découvre une des multiples facettes du Japon et des japonais mais aussi de la vie des expatriés.
C’est un roman de presque 500 pages, assez lent, Mary parait au début naïve mais elle devient attachante et aussi combative.
Un livre intéressant sur la vie japonaise 🙂
Connaissez vous cet auteur ? Avez vous lu un de ses livres ? Qu’en pensez vous ?
4ème de couverture :
En 1903, Mary Mackenzie embarque pour la Chine où elle doit épouser Richard Collinsgsworth, l’attaché militaire britannique auquel elle a été promise. Fascinée par la vie de Pékin au lendemain de la Révolte des Boxers, Mary affiche une curiosité d’esprit rapidement désapprouvée par la communauté des Européens. Une liaison avec un officier japonais dont elle attend un enfant la mettra définitivement au ban de la société. Rejetée par son mari, Mary fuira au Japon dans des conditions dramatiques.
À travers son journal intime, entrecoupé des lettres qu’elle adresse à sa mère restée au pays ou à sa meilleure amie, l’on découvre le passionnant récit de sa survie dans une culture totalement étrangère, à laquelle elle réussira à s’intégrer grâce à son courage et à son intelligence. Par la richesse psychologique de son héroïne, l’originalité profonde de son intrigue, sa facture moderne et très maîtrisée, Une odeur de gingembre est un roman hors norme.
Tagué:chine, gingembre, japon, Mary Mackenzie, Oswald Wynd, voyage

super .un avant goût pour ton futur voyage
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J’espère qu’ils ont changé quand même 😉
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[…] J’ai lu un livre sur la Japon du début du XXème… Une odeur de gingembre. […]
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