
Un livre que m’a offert mon amie Isa, livre émouvant qui rappelle les vacances. Merci 🙂
Un jeune homme revient au mois d’août dans la maison de vacances familiale en Bretagne. Toute sa grande famille est là, grand-mère, parents, cousin.ne.s, et plein d’enfants.
Il retrouve aussi ses souvenirs, les copains, copines d’été, la maison, la plage, la fête du port. Il analyse l’importance que ces jours de vacances ont sur sa vie.
Mon amie m’a dit qu’elle se retrouvait complétement dans ce livre, moi aussi d’une autre façon. Je suis durant mon enfance toujours allée en vacances au même endroit en Normandie, ce n’était pas une maison familiale puisque j’y allais seule avec mon père, mais je retrouvais mes ami.e.s de là-bas et c’était chouette aussi.
J’aurai bien aimé pouvoir continuer cette « tradition » avec mes enfants mais quand ils étaient petits nous n’avions pas les moyens d’avoir une résidence secondaire et puis après c’était trop tard…
Un livre très agréable à lire sur le temps qui passe. C’est à la fois nostalgique, émouvant et simple.
Connaissez vous ce jeune auteur ? L’avez vous lu ? D’autres titres ?
4ème de couverture :
« Là, sur la route de la mer, après le portail blanc, dissimulées derrière les haies de troènes, les tilleuls et les hortensias, se trouvaient les vacances en Bretagne. Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. » Revenu passer l’été dans la grande maison familiale du Finistère, entre après-midi à la plage, amours naissantes et fêtes sur le port, un jeune homme bascule doucement de l’enfance à l’âge adulte. Observant un petit cousin qui lui ressemble, il mesure avec mélancolie le temps qui a passé. Au cours de ce mois d’août, joies et déchirements de la vie s’entrechoqueront.
Tagué:été, bretagne, livre, maison, nostalgie, Pierre Adrian, souvenirs, vacances

Bonjour Marie. Vraiment heureuse que tu l’aies aimé.
Il m’a fait replonger dans cette période merveilleuse des vacances pendant l’enfance.
Quel joli livre, vraiment !
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Oui merci encore Bises
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Eternel regret des maisons « familiales » qui disparaissent quand les grands-parents qui en étaient le « ciment » s’effacent. Et que les générations suivantes n’ont plus les moyens ou l’envie d’habiter suffisamment longtemps chaque année pour l’entretenir…
Question: ce que l’on regrette, est-ce vraiment l’ambiance familiale, ou… la période de notre propre enfance puis jeunesse?
(s) ta d loi du cine, « squatter » chez dasola
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Ce livre aborde toutes ces questions 😉
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Interessant je ne connais pas
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Un agréable petit livre
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