
Je ne sais pas bien pourquoi j’ai choisi ce livre à la bibliothèque, la couverture, plutôt l’auteur allemand, je n’en lis pas souvent.
Pour tout vous dire j’ai eu un peu de mal alors que l’histoire est vraiment intéressante et l’Histoire de l’Allemagne derrière encore plus. Le mal de dent n’aide pas à lire.
Kaspar est né après la guerre et vit à Berlin Ouest, il a le droit d’aller à Berlin Est, il tombe amoureux de Birgit et réussit à la faire passer à l’Ouest. Ils mènent une vie calme et disons tranquille.
A la mort de Birgit, Kaspar lit ses carnets car elle avait toujours dit qu’elle préparait un livre. Il découvre qu’elle a abandonné un bébé avant de fuir et qu’elle veut le retrouver. Kaspar décide de partir à la recherche de cet enfant, il trouve une belle-fille et surtout une petite fille adolescente.
Au delà de la quête d’une famille, l’auteur nous montre le fossé entre les 2 Allemagne. Kaspar dans cette rencontre avec cette jeune fille découvre un autre monde, il essaie de lui faire comprendre le sien par les arts, musique et musée.
C’est vraiment intéressant d’essayer de comprendre ce qu’on vécut les allemands que ce soit « séparés » et la réunification et ses conséquences.
Le livre phare de Bernhard Schlink est Le liseur, l’avez vous lu ?
4ème de couverture :
À la mort de son épouse Birgit, Kaspar découvre un pan de sa vie qu’il avait toujours ignoré : avant de quitter la RDA pour passer à l’Ouest en 1965, Birgit avait abandonné un bébé à la naissance.
Intrigué, Kaspar ferme sa librairie à Berlin et part à la recherche de cette belle-fille inconnue. Son enquête le conduit jusqu’à Svenja, qui mène une tout autre vie que lui : restée en Allemagne de l’Est, elle a épousé un néo-nazi et élevé dans cette doctrine une fille nommée Sigrun.
Kaspar serait prêt à voir en elles les membres d’une nouvelle famille. Mais leurs différences idéologiques font obstacle : comment comprendre qu’une adolescente, par ailleurs intelligente, puisse soutenir des théories complotistes et racistes ? Comment l’amour peut-il naître dans ce climat de méfiance et de haine ?
Cette rencontre contrariée entre un grand-père et sa petite-fille nous entraîne dans un passionnant voyage politique à travers l’histoire et les territoires allemands. Plus de vingt-cinq ans après Le liseur, Bernhard Schlink offre de nouveau un grand roman sur l’Allemagne qui sonde puissamment la place du passé dans le présent, et nous interroge sur ce qui peut unir ou séparer les êtres.
Tagué:allemagne, berlin, Bernhard Schlink, Kaspar, La petite fille, Sigrun

Non, je n’ai pas lu ! Merci pour ce retour 😉
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Bonne journée
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Je viens juste de le terminer … ma chronique bientôt mais j’ai beaucoup de retard !
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Tu me diras…
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http://keskonfe.eklablog.com/la-petite-fille-de-bernhard-schlink-a216086665
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Merci
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