
Spectacle en partenariat avec le Théâtre de la Ville. Je n’étais jamais allée au Théâtre 14, c’est un chouette endroit. Nous avons pu déguster un bol de soupe avant de sortir dans le froid…
Un texte de Gwenaëlle Aubry sur son père qui à sa mort a laissé un manuscrit « à romancer ». Ce texte est donc devenu une pièce de théâtre.
Sarah Karbasnikoff porte excellemment bien ce long monologue. On passe par tous les sentiments que ce père fantasque, voire un peu fou a inspiré à sa fille.
C’est émouvant tout cet amour pour un père disparu. Les scènes de deuil ne sont pas faciles. Mais l’ensemble est une très belle déclaration d’amour, un hommage sensible.
Le spectacle se joue donc à Paris jusqu’à la fin du mois. Lien en dessous.
Sur le site du Théâtre 14 :
Entre ombre et lumière, passé et présent, un dialogue posthume lumineux entre un père, sa fille et une foule de personnages. Comment exister quand on est la fille de personne ? Dans un abécédaire poétique qu’elle égrène de A comme Antonin Artaud à Z comme Zelig, Gwenaëlle Aubry dresse un portrait bouleversant de son père disparu. Avocat, universitaire de renom, mais absent à lui-même et au monde, souffrant d’un spectre bipolaire, il laisse à sa mort un texte autobiographique « à romancer ». De ces fragments et de sa propre déchirure, l’autrice recompose un récit tendre et poignant qui vient nous troubler profondément. Comédienne de la troupe du Théâtre de la Ville, Sarah Karbasnikoff éclaire toutes les nuances de ce chant solaire de souffrance et d’amour.
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