
C’est mon troisième livre de Sandrine Collette et je suis à nouveau partagée, j’ai eu du mal avec Il reste la poussière, j’ai bien aimé Un vent de cendres.
J’ai à nouveau eu du mal, c’est l’histoire d’une famille qui vit dans la forêt quasi en totale autonomie. Le père chasse. Alors qu’il rentre, il découvre sa femme morte, tuée par un ours. Il reste avec son fils de 5 ans. Il ne va plus pouvoir partir chasser… Il décide d’emmener son fils…
J’ai du mal avec les livres qui mettent des enfants en difficulté. J’ai failli abandonner et puis comme le livre ne fait que 200 pages je suis allée au bout. Je ne regrette pas, l’histoire est quand même forte et les réflexions de l’homme évoluent.
Comment devient on père ? Quelle est la part d’éducation dans ce que l’on fait ? Doit on forcément refaire ce que l’on a vécu dans son enfance ? Mais aussi, l’homme est il un animal sauvage ? Le livre pose de multiple question sur la nature humaine.
Trop de nature pour moi certainement 😉
J’ai réservé un autre livre de cette auteure à la bibliothèque mais ce sera mon dernier je crois.
Avez vous lu celui là ? Qu’en pensez vous ?
4ème de couverture :
Ce soir-là, quand Liam rentre des forêts montagneuses où il est parti chasser, il devine aussitôt qu’il s’est passé quelque chose. Son petit garçon de cinq ans, Aru, ne l’attend pas devant la maison. Dans la cour, il découvre les empreintes d’un ours. À côté, sous le corps inerte de sa femme, il trouve son fils. Vivant.
Au milieu de son existence qui s’effondre, Liam a une certitude : ce monde sauvage n’est pas fait pour un enfant. Décidé à confier son fils à d’autres que lui, il prépare un long voyage au rythme du pas des chevaux. Mais dans ces profondeurs, nul ne sait ce qui peut advenir. Encore moins un homme fou de rage et de douleur accompagné d’un enfant terrifié.
Dans la lignée de Et toujours les Forêts, Sandrine Collette plonge son lecteur au sein d’une nature aussi écrasante qu’indifférente à l’humain.
Au fil de ces pages sublimes, elle interroge l’instinct paternel et le prix d’une possible renaissance.
Tagué:forêt, loups, nature, père-fils, Sandrine Collette

Et dire que moi je suis une fan inconditionnelle, chaque nouveau bouquin est un vrai moment de pur plaisir de lecture. Et celui-ci, avec son écriture rude comme la nature sauvage qu’elle décrit et sèche comme les sentiments qui étreignent cet homme meurtri, m’a profondément émue et bouleversée ! 😀
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Merci de ta visite et de ton avis sur cette auteure…
C’est trop dur pour moi je crois.
Chacun.e doit se faire sa propre idée.
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Oui, c’est un droit inaliénable de nous autres lectrice !
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Moi aussi j’ia beaucoup aimé comme toi c’est bien il reste la poussièe que j’ai le moins aimé. Hate de lire ta prochaine chronique, et surtout savoir quel titre tu as emprunté !
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C’est Des noeuds d’acier , tu l’as aimé ?
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Je crois que c’est son premier il m’avait laisser sur le cul … mais attention ce n’est pas tendre !
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Je vais juste essayer alors 😉
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